Caresses et Suzy
Datte: 25/01/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
voisins,
massage,
Oral
pénétratio,
occasion,
... très chaud pour m’affubler avec ce genre de lingerie.— Non celle-là, il ne l’a jamais portée… Me voilà donc maintenant accoutré avec une liquette bleu nuit. Je dois avoir l’air idiot avec cette chemise vieillotte qui me paraît trop large ! Ma voisine me prend la main et m’emmène dans sa chambre. C’est une pièce assez grande, décorée sobrement. À travers les croisillons de la fenêtre, le soleil dessine sur le lit des carrés de lumière. Suzy les éteint brusquement en fermant les tentures. Le tissu tamise les rayons, diffuse des grains de lumière bleutés. Une ambiance agréable et douce nous enveloppe. Ma partenaire s’étend sur le ventre, la tête sur le côté gauche, yeux fermés. La tunique, de coupe carrée, dévoile largement ses épaules et laisse deviner par transparence la blancheur de la peau ; elle recouvre ses fesses, petites et rebondies, et s’arrête à mi-cuisse. S’échappent ensuite deux longues jambes qui donnent à la silhouette une allure fuselée. Les boucles d’argent de sa chevelure, relevées et serrées dans le bandeau, découvrent sa nuque. C’est de là que je pars à la découverte de la géographie de son corps. Je caresse délicatement ses tempes. Suzy tressaute. Ne s’y attendait-elle pas ? La chair est soyeuse et chaude. Un parfum fleuri s’en dégage. J’effleure le cou en cercles descendants. Mes doigts roulent sur les perles du collier, glissent comme sur l’écume des vagues et abordent le rivage des épaules. Celles-ci sont douces comme le sable des plages, larges comme ...
... un continent. Je les parcours avec lenteur, posant mes mains longuement, comme pour y laisser une empreinte de chaleur. Les omoplates, sortes de promontoires pointus, dominent la plaine du dos. Je les délaisse et préfère suivre le sillon de la colonne vertébrale : voilà un chemin bien tracé, qui mène à de vastes paysages ! Sous l’étoffe transparaît une peau tendre et un peu amollie. Elle s’étend comme d’immenses champs vibrants au soleil, épousant les courbes du dos. Entre aisselles et reins, le fin tissu glisse et se plisse sous mes caresses ; l’épiderme frémit, palpite, s’anime d’une vie intérieure. Suzy, un sourire aux lèvres, se balance au gré de mes mouvements, comme les blés sous le souffle du vent. Je me laisse ensuite couler au creux de ses reins. C’est un val accueillant et reposant au milieu d’ondulations agréables. J’y pose ma tête, ferme les yeux, en respire les odeurs, en partage la sérénité. Sérénité apparente pourtant, car ma complice tressaille dès que je la frôle. Ses fesses toutes proches appellent mes mains. Elles sont fermes, rondes et menues. Je les pelote avec plaisir et amusement. Je rebondis en petits sauts jusqu’à la faille de l’entrejambe. J’essaie d’y glisser les doigts, mais ma partenaire garde ses cuisses serrées, ne permettant aucun passage. Je n’insiste pas et quitte l’étoffe pour parcourir ses jambes. Elles sont blanches, élancées et s’étirent comme une péninsule lointaine. Une pression au creux du genou fait se relever de très fines chevilles. ...