1. Caresses et Suzy


    Datte: 25/01/2019, Catégories: fh, fplusag, extracon, voisins, massage, Oral pénétratio, occasion,

    ... Elles sont si minces que j’ai presque peur de les casser. Je les masse très doucement, ainsi que les pieds. Ma voisine semble apprécier. Elle se tortille, ondoie, puis se tourne sur le côté et s’assied. Elle me regarde en souriant. — Être caressée, c’est exister. Sous tes mains, je ressens à nouveau ma peau frémir, mon cœur s’emballer. Sous tes mains, c’est de la chaleur et des frissons. Être caressée par toi, c’est vibrer, c’est vivre… Son regard intense et brillant se tend entre nous. Sans me quitter des yeux, elle ôte lentement sa tunique. Lorsque les bras sont relevés, ses seins sont d’une tenue parfaite ; ils roulent et s’affaissent lorsque les mains retombent. Bien que relâchée, la poitrine garde des courbes gracieuses et attirantes. Entre les seins, coule le long collier années 30. L’éclat irisé des perles rehausse encore la blancheur de la peau. Elle est si délicate qu’on en devine de suite la douceur. Suzy se sait observée. Elle me sourit, garde la pose quelques longues secondes encore puis se couche sur le dos, sensuelle et un rien provocante, les bras mi-relevés, les jambes légèrement écartées. Je glisse mes mains sous ses aisselles, qu’elle n’a pas rasées, et en caresse la toison, effleurant par moments sa peau. Ma voisine ronronne avec délice, se déhanche agréablement. Qu’elle me semble belle en ces instants ! Son buste me conduit à ses seins, maintenant étalés et qui glissent sur les côtés. Ils sont lourds, ronds et ponctués par un tout petit téton. Comme ...
    ... j’aime les nichons de ce genre-là ! Ils ont la volupté des poitrines maternelles et la fraîcheur de celles des jeunes filles ! J’habille le sein droit d’un rang de perles, puis de deux, puis de trois et resserre lentement les anneaux. Sous la pression, le globe se redresse dans son écrin précieux, le mamelon s’offre à moi, tout fin et tout dur. Je le suce doucement, caresse la peau restée dénudée. Suzy respire profondément, savoure des sensations retrouvées. Je temporise, cherche à me plonger à nouveau dans ses yeux. En vain. Elle les tient mi-clos, cachés derrière la grille de ses longs cils. Je délie alors les anneaux, reforme les spires sur le sein gauche et les referme vivement. Surprise par la brusque étreinte, ma partenaire a rouvert ses paupières. Qu’importe ! J’aspire le globe raidi dans une impétueuse goulée. Je tète la pointe érigée. Je joue avec les perles, les presse et les fais rouler sur le nichon. Je triture, pétris le minuscule téton ; je le pince, je le malmène. Un flot d’émotions a envahi ma complice. Elle inspire bruyamment et par saccades, m’attire à elle, me prend par le cou et m’embrasse passionnément. Elle se tait mais ses yeux maintenant parlent pour elle. Ils sont d’un bleu lumineux et j’y lis tout le plaisir, le désir, la reconnaissance aussi, que suscitent ces moments délicieusement ardents. Je réponds à ses baisers, puis, m’appuyant sur mon avant-bras, pars à la découverte d’autres trésors… Mes doigts descendent sur ses hanches, sur son ventre, ...