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D'hier à maintenant : Les vacances (3)
Datte: 13/08/2017, Catégories: Hétéro
Précédemment : Nous faisons la connaissance d’Alexa, David, Jibé et Laure. Armelle et moi même continuons nos jeux sexuels. Nous couchons également ensemble. De son côté la petite coquine s’amuse même une fille. Après notre relation sexuelle et bestiale, nous rejoignîmes nos amis de vacances. Ceux ci avaient trouvés un coin isolé du lac où nous faisions chaque soir un feu de camp. Armelle fut accueillie par David avec une main aux fesses et un gros patin. Je ne pouvais m’empêcher de penser que ce mec était vraiment un gros lourd. Mais il servait de couverture à ma coquine préférée pour nos jeux sexuels. Alexa me fit un merveilleux sourire et Jibé m’en claqua cinq comme à chaque fois qu’on se voyait. Laure fuyait mon regard comme lorsqu’elle était sortie de la douche quelques heures plus tôt. Elle fuyait également le regard d’Armelle et semblait même dégoûter. Jibé sortit sa guitare et je l’accompagnai au chant. Nous refîmes ensemble le répertoire de Téléphone et d’Indochine. Nous nous étions découverts une passion commune pour ces deux groupes. Alexa et Armelle nous réclamaient telles ou telles chansons mais Laure faisait encore et toujours la tête dans son coin. Si ses yeux étaient des revolvers, Armelle et moi étions morts depuis longtemps. Au bout de deux heures Jibé et Alexa partirent. D’un regard nous nous comprîmes Armelle et moi. Pas besoin de se faire un dessin. J’essayai d’engager la conversation avec Laure pendant que David essayait de goûter les amygdales ...
... d’Armelle. Mais impossible de lui faire décrocher un mot. Elle décida de partir. Et je me décidai à la suivre. Peut être qu’en nous éloignant du feu, elle se dériderait un peu. Mais c’était peine perdu. — Laure, s’il te plaît, parles moi, insistai je. — Je n’ai rien à te dire. C’était le dernier soir que je traînais avec deux pervers comme ta soeur et toi. Pour le coup, je ne l’avais pas vu venir. Donc elle avait dû nous voir à un moment ou un autre. Pourtant j’allais jouer la naïveté. — Qu’est ce qui te permet de nous appeler comme ça ? M’enervais je faussement. — Je vous ai vu tout à l’heure, répliqua t-elle avec défi et collant presque son visage au mien. — Ah!! Tu as vu quoi exactement ? Bafouillais je le coeur battant à tout rompre. — Tout. J’ai tout vu, s’exclama t-elle, presque criant. Comment pouvez vous faire cela entre vous ? — Pour commencer nous ne sommes pas du même sang. Et puis ça s’est fait comme ça. — N’empêche que c’est dégoutant, répliqua t-elle. Ne m’adresse plus jamais la parole. Elle me planta en plein milieu du chemin, disparaissant dans les ténèbres. Je décidai à mon tour à rentrer au mobile-home. J’entrai saluant mes parents puis partis me coucher. Armelle m’envoya des messages que je laissai sans réponse. J’eus beaucoup de mal à m’endormir ce soir là, repensant aux mots de Laure. J’espérais qu’elle n’allait pas le répéter à qui voudrait bien l’entendre. Je pris les devants et lui envoyai un message. “ Je sais que tu m’as dit ne plus vouloir me parler, mais ...