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D'hier à maintenant : Les vacances (3)
Datte: 13/08/2017, Catégories: Hétéro
... j’ai besoin de savoir si tu as parler à quelqu’un de ce que tu as vu. Juste un oui ou un non suffira.” Je commençai à m’endormir quand la réponse vint. “Non, je n’en parlerai à personne, si ça peux te rassurer.” Je ne dormis pas du sommeil du juste. Lorsque je me réveillai, il était à peine cinq heures. Le soleil filtrait à travers les rideaux de la chambre. J’entendais le chant des oiseaux, le bruit du vent dans les arbres et toujours les mots de Laure raisonnant dans le fond de mon esprit. Je décidai de me lever pour aller aux douches. J’espérais être seul. J’en avais besoin. En sortant de la chambre, j’eus peur de voir Armelle sortir de sa chambre. Heureusement pour mon état d’esprit, il n’en était rien. Je grifonnai rapidement un mot à l’adresse de mes parents puis je sortis me doucher. Une fois laver, je pris la route du village. Le bourg commençait à se réveiller. La boulangerie salon de thé venait juste d’ouvrir. Je commandai un petit déjeuner tout en m’asseyant près de la fenêtre. La journée serait belle. Ça faisait une heure que j’étais installer quand ma mère m’envoya un message. Elle avait vu mon mot et me demandait de faire attention à moi et de rentrer au plus tard pour manger ce midi. La vendeuse qui devait avoir mon âge, vint me voir. — Vous voulez autre chose ? — Un nouveau café, s’il vous plaît et votre numéro de téléphone, ajoutais je avec un sourire. Elle repartit à son comptoir. Je la détaillai. Elle portait une mini short et un tee shirt très moulant. ...
... Elle était tout fine. Ses longs cheveux noirs et ses petites lunettes me plurent tout de suite. Le côté intello mais dévergondée m’attirait beaucoup. Elle revint avec mon café et déposa une nouvelle serviette. Apparemment mon numéro de charme n’avait pas fonctionné. Vers neuf heure je décidai de partir pour m’aérer quand elle vint à moi. Elle me tendit un bout de papier. “ je suis en pause dans une heure, attends moi au coin de la rue” Je souris en sortant puis je partis vers la place du marché, flânant au détour des allées. Mon téléphone vibra. C’était un appel d’Armelle. — Tu es où ? — Je suis au village. Je me promène. — Tu aurais pu m’attendre, non ? — Non pas aujourd’hui. J’avais besoin de passer du temps seul. Je m’approchais du coin de la rue où la jolie vendeuse devait me rejoindre. — Et pourquoi ? S’énerva t-elle. kzeknnax — Pour le moment je ne veux pas en parler. On se voit cette aprem. Je raccrochai, voyant la vendeuse arrivée. — Je n’étais pas sûr que tu m’attendrais, commença t-elle. — Je ne pouvais pas refuser une si charmante invitation. — Tu as combien de temps de pause ? — Environ une heure. Tu as eu une idée ? — Oui. Et ça tombe bien, ça devrait nous prendre une heure. Tu habites par ici? — Juste là au dessus, me dit elle en désignant l’entrée à côté d’elle. Elle sortit ses clés et nous entrâmes dans un hall desservant un escalier. Nous montâmes au deuxième étage. Tout le temps de la montée, je regardais son magnifique fessier moulé dans son mini short. Je ...