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D'hier à maintenant : Les vacances (3)
Datte: 13/08/2017, Catégories: Hétéro
... distinguai le haut d’un string en dentelle blanc. Elle entra dans son studio et je la suivis. Pour tout mobilier il y avait un grand lit, une kitchenette et une porte donnant certainement sur la salle d’eau. Aussitôt la porte fermée, je me retournai vers elle, et l’embrassai. Elle ne me repoussa pas et me rendit mon baiser. Je lui retirai son haut pour découvrir des seins plus petit que ceux d’Armelle. J’en déduisis qu’elle faisait un 85C. Je dégrafai son soutien gorge, puis deboutonnai son mini short. Son string était bien en dentelle blanc, masquant à peine son sexe totalement épilé. Je lui retirai puis je remontai le long de sa jambe avec langue, jusqu’à son abricot qui était déjà trempé. Je la plaquai contre le meuble de sa kitchenette, et lui écartai les jambes. Elle gémit tout ondulant du bassin. Je dégustai ce fruit juteux au possible. Les gémissements devinrent rapidement jouissance. Elle me releva et me retira mon t-shirt et mon short. La bosse formée par mon sexe semblait lui plaire. Elle sourit tout en sortant ma queue de mon boxer. Elle fit de rapide va et vient, m’arrachant des râles. Puis je sentis ses lèvres et sa bouche autour de mon gland. Elle suçait très bien, tout en me malaxant les couilles. J’étais aux anges. Elle arrêta avant que je ne jouisses puis elle se mit à quatre pattes sur son lit. — Je veux que tu me sodomises, dit elle en remuant ses fesses. Parce qu’avec une queue comme la tienne, je suis sûr qu’elle fera du bien. Je n’allais pas me faire ...
... prier. Je sortis de mon portefeuille un préservatif, que je mis rapidement. Je lubrifiai son oeillet avec sa mouille, et j’introduisis un doigt puis deux. Vu la réaction de son corps, elle devait être habituée. Je présentai mon gland à l’entrée de son anus, puis je poussai doucement. Sentant chaque centimètre de ma queue se faire avaler. Bon sang ce que c’était bon. Je m’imaginais déjà le faire à Armelle. Je la limais à peine qu’elle me demanda d’accélérer les mouvements. Elle reculait en même temps que j’avançais vers elle. Mes couilles claquaient sur sa chatte toute trempée. Les coups étaient de plus en plus intense, lorsque je l’entendis gémir. Elle jouissait du cul et moi aussi je prenais un pied d’enfer. Ma jouissance monta rapidement. Je lui fis savoir. Elle se retira, s’allongea sur le dos et me retira la capote. Elle me reprit en bouche puis au moment où je jouissais, elle me laissa me vider sur ses seins et son ventre. Ma matinée se finissait bien. Je l’embrassai une dernière fois avant de la laisser. Nous échangeâmes nos numéros de téléphones. Sur la route je repensai à Estelle. Et en souriant je me dis que j’allais aller chercher le pain très souvent. J’étais au camping avec une petite demi-heure d’avance sur l’heure que m’avait imposé ma mère. J’aidai cette dernière à faire le repas du midi. Elle ne me posa pas de questions. Et je l’en remerciais. En même temps je ne pouvais pas lui expliquer que j’avais eu besoin de m’aérer la tête, parce que j’avais baisé la fille ...