Carole et Victor
Datte: 27/01/2019,
Catégories:
fh,
couple,
volupté,
fsoumise,
hdomine,
Oral
nopéné,
ecriv_f,
... facilement un ou deux battements quand elle savait son homme à proximité. C’était une grande affaire que cet homme-là, une grande chance dans sa vie, un grand plaisir partagé, un grand chantier de découvertes jamais terminé. Il était bougon, soupe au lait, autoritaire, d’accord. Mais il était beau comme un camion, amant comme un Siffredi, tendre comme un agneau et jamais en peine pour la satisfaire. Elle le trouva endormi dans le grand canapé blanc, un verre posé par terre, une jambe pendante. Elle le regarda un moment et ses yeux descendirent lentement jusqu’à sa braguette. Déjà oubliés le suicidaire et l’obsessionnelle, elle avait envie de lui, là, tout de suite. C’était impératif. Elle s’approcha doucement de lui, posa un baiser dans son cou, juste sous l’oreille droite, puis fit courir une langue bien dardée sur son visage. Les joues, les yeux, le front. C’était salé et tiède Elle happa une goutte de sueur coincé dans la petite ride qu’il avait au milieu du front. Ses paupières frémirent mais il ne les ouvrit pas. Il fit simplement basculer son bassin pour laisser plus ostensiblement son sexe en offrande. Encore penchée sur lui, Carole passa une jambe par-dessus lui pour s’asseoir sur son pubis. Il ne bandait pas encore. Cela aurait été trop simple et ne faisait pas partie du jeu. Cette bandaison, cette bite dure et tendue à la faire crier qui s’insinuerait plus tard en elle, elle devait la mériter, elle le savait. Elle commença un lent va-et-vient à coup de reins et de ...
... fesses sur la proéminence qui commençait à se dévoiler. — Avant, arrière, frotte et chevauche, ma fille ! Sois efficace sinon tu n’auras rien, dit-il en lui enserrant la taille dans ses grandes mains d’un geste brutal. Tu la veux ?— Oui, lâcha-t-elle dans un soupir. Et tu le sais. Que dois-je faire cette fois-ci ?— Je vais voir, je ne suis pas décidé, dit-il avec une mine boudeuse en ouvrant enfin les yeux. Montre-moi d’abord ce que tu sais faire. Elle approcha la main de la ceinture de cuir qui maintenait le pantalon. Elle en ouvrit la boucle d’un geste bref et s’attaqua aux boutons qui lui fermaient encore l’accès à la trique dont elle rêvait. Sans nouvelle consigne, elle allait dégager son sexe du slip d’où le gland débordait déjà, mais il la retint. — Fais glisser la ceinture d’abord. Je vais en avoir besoin. Elle s’exécuta et la lui tendit. — Je vais t’attacher les mains. Sers-toi de ta bouche, de ta langue, de tes dents. Débrouille-toi. Interdiction de toucher ! Du moins jusqu’à ce que j’aie changé d’avis. Baisse-toi ! Carole se pencha en avant et sa bouche heurta le gland rouge et gonflé de Victor. Elle ouvrit les lèvres et entreprit de sortir la bite de son slip comme elle le put pendant qu’il lui attachait les mains derrière le dos. Avec les dents, très délicatement, elle tira l’élastique du slip vers le bas, découvrant peu à peu l’objet de son désir. Furtivement, l’image de cette queue dans son cul la fit gémir. On n’en était pas là ! Peut-être n’y aurait-elle même ...