1. Carole et Victor


    Datte: 27/01/2019, Catégories: fh, couple, volupté, fsoumise, hdomine, Oral nopéné, ecriv_f,

    ... pas droit ce soir… Elle arriva enfin à dégager toute la queue de Victor et laissa l’élastique à la base, juste avant les couilles. Cela eut pour effet de la redresser légèrement. Suffisamment pour que sa bouche s’en empare goulûment. Elle fit courir sa langue sur toute la longueur, s’en servit pour bien dégager le gland. C’était si bon, si doux, comme du velours de soie. Elle inonda peu à peu sa culotte d’une abondante rosée tiède. Elle sentait le sang de Victor pulser sous ses coups de langue, dont la pointe dure lui évoquait son petit bouton qui hurlait de douleur et d’envie tout seul dans son coin pendant ce temps-là. Victor lui prit la tête à deux mains et l’appuya si fort que son gland s’enfonça dans la gorge de Carole. Elle eut un haut-le-cœur mais cela n’infléchit pas son amant qui la voulait profonde et offerte sans résistance. — Tu joues les gagne-petit, ma belle, ce soir. Continue comme ça et tu n’auras même pas le droit de te finir toute seule. À toi de voir. Carole aimait ce ton, elle aimait se mettre à la disposition autoritaire de Victor. Il la dominait de sa puissance et de son savoir mais n’était jamais violent avec elle. Être à sa merci, c’était jouissif, ça lui vidait la tête de toutes les horreurs qu’elle entendait toute la journée. Elle n’avait pas encore prononcé un mot, il n’avait pas encore donné la permission. C’était bien, ce silence, c’était bien aussi qu’il parle, lui, qu’il dicte ses désirs. Plus aucune responsabilité, juste la quête de la ...
    ... jouissance, quelle tranquillité ! Elle redoubla d’énergie pour le satisfaire. La bouche comme une ventouse à s’en faire mal, elle branlait de ses joues et de sa langue cette queue qui refusait d’éjecter son nectar dans sa gorge. Elle savait comment faire pour le combler totalement, mais pour cela elle avait besoin de ses mains et il le lui avait interdit. Il faut croire pourtant que l’envie fut la plus forte, car il défit brusquement la ceinture et rendit à Carole l’usage de ses deux outils masturbatoires. Elle saisit les deux couilles à pleines mains et les massa énergiquement tandis qu’elle continuait à le branler de sa langue. Son souffle s’accéléra soudain, il se mit à trembler légèrement de tout son corps. Ses reins s’activèrent aussi en même temps qu’il commençait à gémir doucement. Lorsqu’il gicla enfin, il eut un violent spasme de tout son corps avant d’empoigner la tête de Carole pour l’embrasser violemment. Il lécha d’un air gourmand les gouttes de sperme qui lui tartinaient les lèvres. — Tu as déjà fait mieux, mais c’était pas mal, dit-il enfin. Il lui prit tendrement la tête et la posa sur son épaule. Allez, tu as gagné un calin-nounours. C’est déjà bien.— Tu es trop aimable, dit-elle en se lovant contre son torse. Pendant ce temps-là, j’ai un clitoris qui hurle à la mort, mais bon…— Tu n’as pas encore assez envie. Je sais ce qu’il te faut et quand il te le faut. C’est pas vrai ? Elle acquiesça avec un large sourire. La soirée serait longue et chaude, c’était la seule ...