1. Banquière perverse (21)


    Datte: 28/01/2019, Catégories: Divers,

    ... relations pour rencontrer l’homme qui te convient ! j’interviens. — C’est vrai, sauf que ce n’est pas ce que je recherche. Les soirées mondaines, les gens huppés qui se la jouent pour faire bien, et montrer aux autres qu’on a le mieux, le plus grand, le plus cher, le dernier cri et entendre ce genre de réflexion comme : « Hé, tu as vu ma dernière voiture ? Non ? Tu viens je te la montre ; tu vas voir ce bijou : c’est la dernière AMG GT, une bombe à 400 000€ ! » Voilà ce dont j’ai horreur. — Mais tu possèdes une belle voiture et tu vas pourtant aux banquets comme l’autre fois ! — Ah oui ! Celui où il y avait Émilie, mon cochon ! s’exclame Gladice. — Ah, il t’a raconté... ! Oui Issam, je suis bien obligé de m’afficher et de m’imposer vis-à-vis de tous ces mâles dominants ; vous savez une femme directrice d’agence bancaire n’est pas une chose facile à assumer parfois. On sonne à la porte. — Issam : Habille-toi et va ouvrir, s’il te plait ; c’est sans doute mon ami toubib qui vient examiner Gladice ! Je pense que c’est mieux que tu sois seule avec lui. Je m’habille — Non Jelila ! Reste, j’ai peur ! — Peur de quoi, il ne va pas te manger ; il va t’ausculter, rien de plus. — Oui mais s’il pose des questions ? — Ah ! Bon d’accord, je reste ! Je vais chercher le toubib et l’accompagne jusqu’à la chambre de Gladice et le fait entré. — Bonjour Mademoiselle, comment allez-vous ? — Bonjour Docteur, ça ne va pas trop mal. — Parfait, vous nous laissez, le temps que je l’examine ? — Non ...
    ... Philippe, elle préfère que je sois là. — Ah ! Je comprends, donc ça ne va pas ! Vous avez besoin de parler, c’est cela ? — Oui Docteur. — Jelila, je crains que ce soit un peu long. Mademoiselle... ? — Gladice, Docteur. — Très joli prénom, je note... Glaidys avec YS à la fin ? — Non, ICE. — Ah bon... tstggjk — Oui, c’est mon père qui s’est trompé quand il m’a déclaré à la mairie, il n’a jamais voulu changer en disant que comme cela je serais unique ! — Bon, ce n’est pas bien grave ; c’est très joli quand même ! Faites-moi confiance, si nous somme seuls, vous parlerez plus facilement, car je pense que je vais devoir guérir votre corps mais aussi votre esprit. — Gladice, Philippe a raison, et puis il faut que je m’occupe de ma fille ! — Comment va-t-elle ? demande le toubib. — Mal, elle part tout à l’heure, son père l’attend. — Tu as pris la bonne décision, elle sera bien soignée ; je connais certains professeurs qui sont en relation avec ton ex-mari ; ils sont excellents. — Merci, au fait ! Tu es libre ce soir ? — Comme l’air, pourquoi ? — Tu restes manger avec nous, Issam va nous préparer un couscous dont il a le secret ! — Un couscous ! Avec plaisir, j’adore ça ! — Alors on vous laisse, Issam au boulot ! Nous laissons ma Chérie et le toubib, Jelila rejoint sa fille, et moi je vais en cuisine. Je prépare le plat et ce soir, le couscous : Royal ! Je suis content et rassuré de voir le médecin s’occuper de ma Chérie, alors je mets de l’entrain à faire les préparations. Alors que je ...
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