1. Eye Wide Shut


    Datte: 29/01/2019, Catégories: Mature, Transexuels

    ... peu. Pendant ce temps-là, le colonel avait glissé une main dans l’ouverture du manteau. Une main douce et légère qui effleura seulement mes hanches mais me fit frissonner tout de même. Beau joueur et de bonne éducation, mon ami décida de tenter sa chance avec une belle métisse toute en paillettes, un chignon si haut sur le somment de la tête qu’elle devait bien mesurer deux mètres ! Il lui prit la main, la baisa et emporta sa proie sur la piste de danse improvisée au centre de la pièce. Les dieux étaient visiblement à ses côtés car l’orchestre attaquait les premières mesures de Baby Love.Tout ceci n’avait duré que très peu de temps, en vérité. Pourtant, le colonel bandait déjà furieusement. Malgré l’épaisseur de la fourrure, je sentais très nettement son sexe qui se frottait contre moi. Il n’y a rien de plus excitant que la fourrure pour un homme. Je pense que ce soir-là, notre hôte était tout à fait de mon avis.Sa main s’agitait maintenant un peu plus sous mon manteau. Il explora chaque centimètre carré de ma combinaison, s’attardant enfin sur la pointe de mes seins. Lorsqu’il pinça mon téton, je pensait furtivement que j’avais eu bien raison de ne pas m’encombrer d’un soutien-gorge. Une douce sensation de chaleur descendit le long de ma colonne vertébrale. Je n’entendais plus la musique, ni les rires ou les éclats de voix. Je fixai le plafond, les yeux mi-clos, la bouche ouverte, en laissant échapper de longues expirations, comme une nageuse après l’effort. J’entendis un ...
    ... murmure. Tout près de mon oreille, le murmure me disait « venez avec moi... »Quelques minutes plus tard, nous étions dans une belle pièce qui devait être le bureau ou la bibliothèque, si l’on se fiait aux nombreux rayons encombrés de livres. Il m’accompagna, me guida avec des gestes tendres et précis , comme on peut le faire pour aider un malade. Je me sentais aussi fiévreuse qu ‘un malade justement. Une sacrée fièvre qui me faisait trembler comme une feuille.Sur le canapé de cuir, je me transformai en automate, le laissai m’installer sur les coussins et ouvrir mon manteau. Puis, il s’agenouilla face à moi , enleva ses lunettes et les fit tomber sur le tapis, se pencha lentement et posa sa bouche sur mon sexe, par-dessus le nylon de ma combinaison. L’effet fut immédiat, ma fièvre monta en flèche ! Il embrassa, cajola si tendrement et si longtemps le nylon que le tissu se mouilla. Entre deux soupirs étouffés, il laissait échapper quelques « c’est beau, c’est chaud » et poursuivait son œuvre comme un artiste obstiné. Je me tenais la tête appuyée sur le dossier du canapé et savourai cette caresse d’orfèvre. Je sentis qu’il écartait délicatement le volant de dentelle de la combinaison. Quand sa bouche rencontra ma petite culotte mon corps tout entier se contracta. C’est avec ses dents qu’il fit glisser la culotte pour libérer mon sexe. Sans jamais s’aider de ses mains, il goba ma queue et l’avala presque. Quelle sensation ! Je me redressai posai mes mains sur son casque de cheveux ...