1. Eye Wide Shut


    Datte: 29/01/2019, Catégories: Mature, Transexuels

    ... blancs et le guidai en moi, encore plus profondément. Il suffoqua un très court instant mais adopta sur le champ un rythme plus élevé. Ses mains fines, décidément expertes en caresses, câlinaient mes couilles en même temps.Mon don de sperme fut bien à la mesure des ses caresses. Il manqua s’étouffer mais ne perdit pas une goutte de mon offrande. Enfin, il leva lentement la tête et me fit comprendre qu’il avalait tout le foutre que je venais de lui donner, avant de laisser son visage s’illuminer d’un sourire.Je retrouvais mon ami devant l’un des nombreux buffets installés aux quatre coins de la pièce. Sa cravate était dénouée et ses yeux aussi ronds et émerveillés que ceux d’un gamin devant un arbre de noël. Il me raconta ceci : Cette fille m’a tué ! Après quatre morceaux danses à un rythme endiablé, elle voulut se rafraîchir un peu. Ca tombait bien, croyez -moi, parce qu’un rock de plus et on devait appeler le Samu de toute urgence.(Il s’épongea le front constellé de gouttes de sueur et je lampai une autre gorgée de Champagne)Enfin, attendez de savoir la suite. Croyez-moi si vous voulez mais la coquine a voulu que je l’accompagne dans les toilettes dames.-Ne me dites pas que vous n’êtes jamais entré dans les toilettes dames ?Il me répondit d’un sourire.-Alors, poursuivit-il (en fermant à moitié les yeux, visiblement encore sous l’emprise de ce qu’il venait de vivre.) Nous voilà tous les deux dans les toilettes dames, devant les lavabos. Je décide de m’asperger d’un peu d’eau ...
    ... fraîche. Pendant un court instant, elle disparaît de ma vue. Dès que je me retourne, je la retrouve assise sur le trône (et d’une reine pareille on peut bien parler de trône, vous pouvez me croire!) les jambes écartées, la robe relevée, et sa belle chatte offerte.Une magnifique petite lèvre soulignant d’un rouge sang sa splendide toison d’un noir de jais.-Vous êtes un poète, mon cher, l’interrompis-je.-Un poète, répéta-t-il, oui, un poète.Je restai muette, décidée à le laisser reprendre un peu ses esprits. C’est à ce moment que je la vis pour la première fois. Une femme magnifique, une véritable déesse qui traversait la pièce. Une telle grâce qu’on eut dit qu’elle glissait véritablement sur le sol. J’eus à peine le temps d’apercevoir sa chevelure auburn qui cascadait sur sa longue robe en lamée qu’elle avait disparue…Mon ami pressa sa main sur mon bras.-Mais c’est elle qui m’a donné cette inspiration, cette âme de poète savez-vous, reprit-il en s’épongeant de nouveau le front. Je tombais à genoux comme un pénitent et je goûtais à pleine bouche ce petit fruit des îles ! Ah, ma chère, quel goût ! Quelle saveur exquise ! Sucrée et parfumée comme aucun fruit !(Il remuait les lèvres, s’imaginant sans doute encore occupé à déguster ce fruit défendu)Quand vint le jus, je manquais m’évanouir. Un merveilleux et subtil mélange exotique d’épices et de vanille.Devant mon expression dubitative, sa verve redoubla.-Quel nectar ! Le breuvage des Dieux, je vous assure !Je lui passai une flûte ...