Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps
Datte: 29/01/2019,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
... identifiés au départ, ça va nous faire gagner du temps.— Tu devrais te changer, tu vas salir tes vêtements. Je vais te prêter une chemise et un pantalon— Ça va être dix fois trop grand. Je vais ressembler à un clown.— Essaie ça, c’est une chemise que je mets pour aller à la pêche, elle ne craint rien. Aline défit son chemisier et enleva sa robe. Elle ne portait ce jour là, comme sous-vêtements, qu’une large culotte en soie, du type « à courants d’air ». Elle enfila une chemise en toile bleu marine qui la couvrait jusqu’à mi cuisse. Elle la ferma à moitié, remonta les manches, et se tourna vers son amant. — Comment me trouves-tu ?— Je pense qu’il vaut mieux abandonner l’idée du pantalon. Je ne tiens pas à ce que tu ressembles à un vieux tas de chiffon.— D’accord, mais sage. Maintenant on travaille, la rigolade c’est pour plus tard.— Promis. Ils travaillèrent d’arrache-pied pendant plus de deux heures. Effectivement Nicolas se comporta comme il l’avait promis. Il ne put malgré tout s’empêcher par moments de contempler son amie. Certaines positions entrouvraient un peu plus que d’autres la chemise, lui offrant à la vue les deux seins qu’il aimait tant caresser. Surtout lorsqu’elle se penchait un peu dans un carton pour en vider le contenu. D’autres fois, par exemple lorsqu’elle montait sur le tabouret pour ranger tel ou tel objet sur les rayons hauts d’une armoire, il pouvait voir un éclair roux par l’échancrure de la culotte. Elle le surprit en contemplation plus d’une fois. À ...
... chaque fois elle le grondait gentiment en riant. — Voyeur, tu n’as rien d’autre à faire que de m’espionner ?— Allumeuse, répondait il sur le même ton, crois-tu que je n’ai pas compris ton manège ? Tu le fais exprès. Ce qui n’était pas entièrement faux. Ils se réconciliaient en général avec un tendre baiser, à peine appuyé. — Bon, on arrête pour ce soir, il est déjà vingt et une heure, et nous n’avons pas encore dîné.— Tu as raison. Je me change et on y va. Elle enleva la chemise que Nicolas lui avait prêtée, la posa sur un carton et se retourna pour prendre ses habits. Qui avaient disparus bien sûr ! — Rends-moi mes affaires, sinon tu n’es pas prêt de dîner.— Je ne les ai pas vues. De quoi parles-tu ?— Nicolas tu n’es pas sérieux. Tu m’avais promis d’être sage.— Viens les chercher, elles sont sur mon lit.— Alors sors de la chambre. Sinon tu vas … Elle n’eut pas le temps de terminer sa phrase, son amant était déjà sur elle, ayant enjambé les cartons qui se trouvaient sur son chemin. Elle lui échappa néanmoins. Ils se poursuivirent pendant quelques minutes à travers l’appartement, jusqu’au moment où, à bout de souffle, elle dut se rendre. — Tu as perdu, tu as un gage, lui dit-il en l’embrassant.— Ah oui ? Et lequel s’il te plaît ?— Donne-moi ta culotte. Je te la confisque.— Et je vais rentrer chez moi fesses à l’air ?— Et oui. Mais rassure-toi, je t’accompagne. Comme ça tu ne risqueras rien en chemin.— Parlons-en, c’est peut-être là mon plus gros risque. Mais bon, je suis bonne ...