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Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps
Datte: 29/01/2019, Catégories: f, fh, fff, 2couples, essayage, parking, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral pénétratio,
... leurs deux peaux était souligné par la couleur flamboyante de ses cheveux. Les deux femmes se regardèrent, leurs lèvres se joignirent. Comme toujours lors d’un premier baiser celui-ci commença tendrement. Elles devaient s’habituer l’une à l’autre. Leurs lèvres se gouttaient. Elles se trouvèrent à leur goûts, aussi leurs langues se lancèrent elles à la recherche l’une de l’autre. Elles aussi prirent goût à ce contact. Les mains de Zaïra explorèrent doucement le dos d’Aline, la faisant frémir à plusieurs reprises. Pour ne pas être en reste, elle rendit à sa compagne les caresses qui lui étaient prodiguées. Elle embrassait sa tendre amie sur les épaules, dans le cou, collant tant qu’elle pouvait son corps d’albâtre contre celui d’ébène. Pendant ce temps Mireille s’était installée sur le canapé du salon d’essayage. Elle ne perdait pas de vue le couple qui était en train de se former devant ses yeux. Elle regardait les mains noires sur les flancs blancs qui tressaillaient, les mains blanches sur les fesses noires. Les caresses qu’elles se donnaient échauffaient les sens de la blonde pharmacienne comme si elle y avait participé. Elle se caressait les seins à travers son léger vêtement, mais trouva très vite que c’était frustrant. Elle finit de se déshabiller, et se réinstalla pour mieux voir. Elle pouvait maintenant se caresser librement et tirait de son corps les prémices d’un premier plaisir, qui serait solitaire. Une de ses mains pinçait alternativement le bout de ses ...
... seins, l’autre avait repoussé le capuchon qui protégeait son clitoris si sensible. Elle le faisait vibrer, lui infligeant successivement caresses et agaceries du bout de son majeur. Elle regardait ses deux amies qui progressaient elles aussi sur le chemin de leur plaisir. Les deux jeunes femmes s’amusaient à se caresser mutuellement les seins. Mains, lèvres, langues, tout leur était bon. Elles vacillaient et menaçaient de perdre l’équilibre à chaque instant. Pour se donner plus de facilités elles s’allongèrent sur la moquette épaisse et chacune partit à l’exploration du corps de l’autre. Aline découvrit enfin devant ses yeux le trésor caché de sa compagne. Le contraste de couleur entre les replis roses du sexe de la jeune noire et la couleur de sa peau faisait comme un signal d’appel. C’est là qu’il faut caresser semblait signifier la différence. Elle s’y employa de toute sa science. Ses lèvres, sa langue, ses doigts prirent possession du bijou qui lui était largement offert par les cuisses grandes ouvertes. Son ventre à elle s’ouvrait tout aussi largement au-dessus du visage de son amie qui lui rendait les mêmes services. Dans la pièce ce ne furent bientôt que gémissements, soupirs, petits cris et mots sans suite. N’y tenant plus Mireille s’approcha du couple, et se mêla aux caresses données et reçues. Seul un observateur extérieur à la scène aurait pu savoir qui caressait qui. Elles ne savaient pas par contre à qui était la bouche qui suçait si ardemment leurs clitos, à qui ...