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Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps
Datte: 29/01/2019, Catégories: f, fh, fff, 2couples, essayage, parking, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral pénétratio,
... appartenaient les doigts qui fouillaient leurs chattes inondées ou leurs œillets brûlants et distendus. Elles atteignirent le plaisir en ordre dispersé, mais chacune mit un point d’honneur à ne pas être la première à cesser ses caresses. Leurs jouissances emplirent la petite pièce pendant de longues minutes. Puis une à une elles abandonnèrent le doux combat. Ce fut leur hôtesse qui cessa en dernier. Elle retira à regrets ses doigts du sexe blond qu’elle fouillait profondément, réussit à extraire sa tête de l’étau d’albâtre qui l’emprisonnait, nez dans une aimable foret rousse, bouche suçant ardemment le clitoris gonflé au bout de sa tige érigée. Dans le calme profond qui succède au plus fortes tempêtes quelques douces plaintes se faisaient encore entendre, des mains erraient sur les corps assouvis, d’autres se serraient tendrement. Elles reprenaient leurs esprits et leurs souffles, redescendant lentement sur terre. Sans se lever Zaïra proposa une boisson fraîche et reçu un oui unanime de ses deux amies. Il se passa cependant encore quelques minutes avant qu’elle ne mit sa promesse à exécution. Les longues traces humides qui descendaient le long de ses cuisses prouvaient s’il en était besoin que son plaisir n’avait pas été simulé. — Tu coules comme une fontaine quand tu jouis, remarqua Aline, j’ai cru un moment que tu me faisais pipi dans la bouche. J’ai essayé de ne rien perdre tellement c’était bon.— C’est un de ses charmes secrets renchérit Mireille. Elle a déjà failli me ...
... noyer plusieurs fois. Mais je suis comme toi j’aime son goût. Le plateau était au milieu des trois jeunes femmes qui s’étaient assises. La blonde en tailleur exposait tranquillement aux yeux de ses deux compagnes son sexe encore béant de plaisir. Zaïra avait remonte ses genoux sous son menton, ce qui ne cachait pas grand chose non plus de son abricot, tandis que Aline avait ramené ses jambes sous elle. La noire proposa des cigarettes, mais se trouvant seule à en prendre, renonça. Lorsqu’elles eurent fini le jus d’orange bien frais, Mireille regarda l’heure à sa montre. — Mince déjà 22 h. Heureusement que Pierre sait où et avec qui je suis.— Nicolas risque de s’en faire par contre. Je lui avais dit que je l’appellerai en rentrant vers 21h.— Vive la liberté leur répondit Zaïra, personne ne m’attend, je n’ai de comptes à rendre à qui que ce soit. Mais il faut que vous pensiez à rentrer. Vous avez encore une demi-heure de route. Veux-tu appeler Nicolas d’ici ?— Non je le ferai en arrivant merci. Tout en devisant elles se rhabillaient. Pour Mireille ce fut rapide elle enfila tee-shirt et robe à même la peu, imitée en cela par Zaïra. Aline se vêtit à nouveau complètement. Si elle devait s’arrêter quelques minutes pour voir Nicolas, il était préférable qu’elle le fût. Il était encore trop tôt pour tester ses réactions à de telles fantaisies. Elles ramassèrent leurs affaires, Zaïra leur remis leurs achats, et elles se séparèrent après avoir payé. Leurs embrassades furent un peu plus ...