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Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps
Datte: 29/01/2019, Catégories: f, fh, fff, 2couples, essayage, parking, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral pénétratio,
... de l’hôtel baignait dans la lumière blafarde de la lune. Aucune lumière ne brillait dans les chambres. La façade de l’hôtel donnant sur cette partie de la propriété semblait dormir comme tout le reste de la maison. Cependant un observateur attentif aurait pu voir une vague silhouette se profiler, accoudée à une fenêtre du premier étage. Une silhouette féminine, si l’on en croyait les quelques rondeurs mal masquées par la serviette de bain nouée sous les bras. Une femme qui ne pouvait pas dormir et qui prenait l’air à la fenêtre de sa chambre, après avoir pris une longue douche qui ne l’avait pas calmée pour autant. Aline et Nicolas s’étaient enlacés, Nicolas dos appuyé contre la voiture ; leurs lèvres s’étaient rapidement trouvées et ils échangeaient un long baiser brûlant. Le corps de la jeune femme se frottait lascivement contre celui de son compagnon. Elle ressentait déjà les effets que pouvait avoir sur lui ces caresses pourtant bien sages. Enfin presque sages. De la fenêtre du premier étage, la spectatrice de cette rencontre pouvait voir très nettement les mouvements des fesses d’Aline. De la même manière qu’elle voyait tout aussi bien les mains de l’homme remonter la robe pour caresser ce qu’il trouverait dessous. Plutôt que d’aller se coucher, elle décida de suivre d’aussi près que possible les développements de la situation. — Mais je me trompe ou tu bandes comme un cerf ? chuchota Aline à l’oreille de son amant.— Tu ne te trompes pas ma belle. Je peux même te dire ...
... que tu y es pour beaucoup.— Moi ? mais je ne fais rien pour ça ! réussit-elle à dire sans rire. Ses mains descendirent le long de la poitrine de son compagnon, finissant d’ouvrir la veste du survêtement qu’il avait passé à la hâte avant de descendre l’attendre. Ayant atteint la taille de l’homme, elles se glissèrent sous la ceinture du pantalon. — Dans votre hâte de descendre, vous avez oublié votre slip, monsieur.— Ce n’est pas un oubli, je crois même que je l’ai fait exprès.— Tu as la plus belle queue du monde. Et en plus dans une forme éblouissante, malgré l’heure tardive. Laisse-moi voir ça de près. Elle dégagea l’objet de son désir du pantalon, baissa celui-ci sur les genoux de Nicolas, et approcha sa tète de la colonne de chair dressée vers elle. Ses lèvres déposèrent une série de petits baisers tendres un peu partout sur le membre complaisamment offert. Des ses mains elle caressait la longue hampe et jouait avec elle, découvrant et cachant le gland turgescent. Ses lèvres s’approchèrent du bout découvert et de la pointe de la langue elle agaça le méat. Durant quelques secondes sa langue mena une folle sarabande autour du sexe de l’homme, le léchant comme une glace, enveloppant le gland, descendant dardée jusqu’aux bourses et remontant avant de laisser les lèvres gourmandes le gober. À la fenêtre, la spectatrice ne perdait pas une seconde de ce charmant spectacle. Elle commençait à ressentir au fond de son ventre quelques signes d’intérêt pour ce qui se passait en bas. Son ...