1. La croisière (6)


    Datte: 30/01/2019, Catégories: Hétéro

    Voila l’avant dernier chapitre de cette histoire. J’espère que vous prenez plaisir à cette lecture. Merci à Sergueî Lioubov pour ses encouragements et ses corrections. Marc se réveille ; il sent contre lui le corps chaud de Raphaëlle. En ouvrant les yeux, il voit qu’Isabelle est venue se coller contre sa fille. Il les regarde. Pour lui, il est évident qu’elles aimeraient autant l’une que l’autre faire l’amour ensemble ; mais c’est une relation fragile que l’amour incestueux entre une mère et sa fille, alors il préfère les laisser trouver seules leur propre chemin. La pluie continue de taper sur le pont du bateau, mais de manière moins violente. Comme prévu, la tempête s’éloigne. Marc n’a pas envie de bouger. Le corps collé contre la peau parfumée, il se sent bien. Plus tard, les deux femmes s’éveillent en même temps. Isabelle sourit à Marc. Elle tient le visage de sa fille appuyé contre ses seins. Raphaëlle donne de légers baisers sur les seins de sa maman puis, s’écartant, elle dit d’une voix de petite fille : — Maman, il y a un monsieur qui appuie son gros bâton tout dur contre mes fesses. Isabelle éclate de rire, puis elle pousse Raphaëlle de telle manière que Marc se retrouve entre elles deux, au milieu, les deux femmes couchées sur le côté et leur visage au creux de l’épaule de leur amant. Il y a un moment de silence. Marc le rompt : — Vous êtes bien, toutes les deux ? — Je suis merveilleusement bien. Je ne pensais pas que je trouverais si naturel de me retrouver ainsi, ...
    ... nue, près de ma fille et de mon amant nus tous les deux. Marc lui répond : — Je ne sais pas à quel moment la sexualité est devenue cachée, s’est réfugiée au fond des chambres cloitrées, volets fermés. Les animaux ne se cachent pas, et il y a dans la sexualité une part d’animalité forte. Est-ce la religion qui a voulu rejeter dans le noir le sexe, le plaisir, les jeux ? Isabelle a laissé sa main glisser le long du corps de Marc et la pose sur sa queue dure. Elle touche les doigts de sa fille qui l’a précédée dans cette caresse. Les deux femmes croisent leurs doigts sur la pine de leur amant. — Je fais des choses insensées : me voilà contre toi, et ma main a rejoint celle de ma fille pour caresser ta q… ton sexe. Et le pire, c’est que je trouve cela normal. — Ça l’est. Nous ne nous faisons pas de mal ; au contraire, nous ne nous faisons que du bien. Isabelle hésite à continuer cet échange. Elle a laissé glisser sa main pour prendre les couilles de Marc qu’elle masse avec une infinie douceur. Raphaëlle tient la queue et la branle lentement, plus pour le plaisir de sentir ce pieu entre ses doigts que pour chercher l’excitation. — Marc, tu euh… tu fais l’amour avec ta fille, n’est-ce pas ? Il y a un instant de silence. La main de Raphaëlle s’est figée. — Oui, je suis son amant. — Depuis longtemps ? — Nous sommes devenus amants après la naissance de la première fille de Lucie. Elle est venue passer les vacances d’été chez moi, avec sa fille qui avait 10 mois et trottait à 4 pattes ...
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