1. La croisière (6)


    Datte: 30/01/2019, Catégories: Hétéro

    ... main d’Isabelle caresse la masse des cheveux de sa fille. La main de Raphaëlle s’accroche à la nuque de sa maman, comme si elle voulait l’empêcher de reculer. Le baiser devient plus ardent, les bouches plus ouvertes. Les langues se fouillent, et de légers gémissements accompagnent leurs gestes. Les deux femmes se sont redressées ; à genoux de chaque côté de Marc, leur baiser devient brûlant. Raphaëlle fait couler sa salive sur le menton de sa maman avant de le lécher comme une petite chatte. Sa mère se laisse faire les yeux fermés, gémissant de bonheur. Raphaëlle enjambe le corps de Marc et se couche sur sa mère ; leurs jambes s’emboîtent et leur hanches ondulent, chacune frottant son pubis contre la jambe de l’autre. Les deux corps sont emmêlés, les seins pressés. Les mains d’Isabelle caressent et griffent le dos de sa fille qui gémit de plaisir. L’excitation est si forte qu’elles jouissent immédiatement d’un orgasme violent et court. Raphaëlle, à moitié couchée sur sa maman, lui embrasse le visage ; voyant des larmes couler sur ses joues, elle les lèche tendrement. — Je t’aime, maman. J’attendais cela depuis si longtemps… — Je t’aime, mon bébé. Je ne suis pas sure d’être aussi sereine que Marc, mais je vais apprendre et tu m’aideras. Isabelle tourne son visage vers Marc. — Viens, mon chéri, viens nous faire l’amour. Sa voix est indolente, encore marquée par sa jouissance avec sa fille. Marc lui sourit. — Prenons notre temps. Vous voulez que je vous laisse, que vous soyez ...
    ... un peu seules toutes les deux ? — Non, pas du tout. Ta présence ne me gêne pas ; je crois que cela me plaît que tu nous voies ainsi. — On pourrait sortir et aller manger dans un petit resto, nous n’avons pas d’urgence à faire l’amour. Raphaëlle hoche la tête. Isabelle acquiesce. — Oui, mais tu ne vas pas y aller comme cela. Tu vas être totalement indécent avec cette érection ! Isabelle regarde son amant avec un sourire. — Je voudrais que tu te caresses devant nous. Je crois n’avoir jamais vu un homme le faire. Marc s’adosse contre la paroi de la cabine, les jambes écartées. Il prend sa queue d’une main et commence à la caresser en observant les deux femmes qui le regardent. — C’est très excitant que vous me matiez ainsi… Il fait aller et venir sa main sur sa bite de manière très régulière. Circoncis, son gland est bien découvert. Son autre main caresse ses couilles, son doigt descendant un peu sur son périnée et son anus. Il cesse un instant pour cracher dans sa main et reprend sa pine humide de sa salive. Il accélère, se mordant les lèvres, branlant à petits coups rapides au niveau de son gland puis recommençant à caresser sa hampe. — Tu voudrais jouir comment, mon amour ? Marc regarde Isabelle. Il sent venir au creux de ses reins les prémices de la jouissance. — Sur tes seins. Et que tu gardes mon sperme sur toi ensuite. — Cochon ! Je t’aime. Isabelle vient se coucher, son visage près de la queue de Marc pour que les jets de sperme viennent arroser ses seins. Elle sent sur ...
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