La croisière (6)
Datte: 30/01/2019,
Catégories:
Hétéro
... pouvoir les explorer, les pousser le plus loin possible. C’est pour cela que je parle de jeux. — Et tu es déjà allé dans des clubs échangistes ? — Oui, des clubs ou des parties privées. J’aime beaucoup cela. — Et tu pourrais vivre sans tous ces jeux sexuels ? C’est Isabelle qui a posé la dernière question. Marc la regarde et sourit. — J’ai envie que notre histoire continue au-delà de ces vacances. Mais je te mentirais en te disant que je peux abandonner ma liberté sexuelle. Laisse-moi te faire partager mes envies. Aide-moi à partager tes envies, et ensuite nous verrons. Isabelle sourit à Marc. Elle hoche la tête. Le repas se termine. C’est Raphaëlle qui dit : — On rentre ? On a parlé de sexe, et là, je n’ai qu’une envie : c’est de rentrer et de baiser avec vous deux. Isabelle l’embrasse sur la bouche et ils rentrent tous les trois au bateau. Dès leur retour, Raphaëlle pousse sa maman sur le lit de la cabine et trousse sa robe pour dévoiler la fente d’Isabelle. — Attends, ma chérie, laisse-moi te déshabiller et me déshabiller ; je veux profiter de toi moi aussi. Mais Raphaëlle ne se relève pas ; elle reste le visage plongé entre les cuisses ouvertes de sa maman. Elle pousse sur les cuisses pour qu’Isabelle s’ouvre, s’écarte. Elle fouille de sa langue la chatte trempée de sa maman. Dans cette position, elle est cambrée et sa robe glisse, dévoilant ses fesses. Marc passe sa main sur ce cul magnifique, suit la raie pour caresser l’anus puis la chatte de la jeune fille. ...
... Raphaëlle ondule pour que Marc continue sa caresse. Isabelle gémit, ouverte ; les mains plaquées sur les cheveux de sa fille, elle laisse cette langue la guider vers le plaisir. Raphaëlle relève son visage trempée de mouille. — Maman, ta chatte est bonne… J’aime te sucer. Je te le fais bien ? — Oui, bébé, oui, mais tu ne veux pas venir pour que je te caresse aussi ? zumzvvaf — Non, je profite mieux de toi comme cela… et Marc me fait des choses délicieuses avec son doigt. — Humm coquine… Alors suce-moi ; mais je te préviens : je vais jouir très vite. Marc a glissé deux doigts dans la fente de Raphaëlle. Il a agi doucement, les introduisant lentement, laissant à la fente très serrée de la jeune fille le temps de s’adapter à sa caresse. Raphaëlle gémit tout en léchant de plus en plus profondément sa maman dont les cris de plaisir envahissent la cabine. Les cris sont de plus en plus puissants ; Isabelle ne se retient pas. Elle a dégagé ses seins, et les mains crispées sur ses tétons elle les étire sans douceur, accompagnant de cette caresse les coups de langue de sa fille, puis elle pousse de très longs cris, bouche ouverte, le visage crispé, transformé par l’orgasme, un orgasme long où Isabelle semble se dissoudre dans le plaisir qui la submerge. — Arrête ! Arrête, bébé ; reste juste contre ma chatte : c’est trop fort, trop sensible. Les cheveux humides de sueur, la peau brillante, elle a du mal à retrouver son souffle. Elle caresse les cheveux de sa fille et laisse retomber ses talons ...