La croisière (6)
Datte: 30/01/2019,
Catégories:
Hétéro
... m’attirent pas. — Tu utilises souvent des mots crûs. — Oui, cela m’excite de dire les choses, de verbaliser mes envies et mes désirs. J’aime beaucoup les mots crûs. Les mots crûs expriment parfaitement ce que je ressens. Je ne les utilise pas pour choquer mais parce qu’ils me plaisent. Cela te gêne quand je les prononce ? — Non, non, j’aime bien : cela m’excite, et j’ai envie de pouvoir être comme toi une cochonne à l’aise avec le sexe et pouvoir dire des mots crûs quand ils me passent par la tête. Raphaëlle sourit à sa maman tout en réfléchissant à ce que Marc vient de leur confier sur lui. Il continue : — Je veux vivre ma sexualité en toute liberté. Tu veux que je t’illustre ma manière de vivre ? Si je te demande de trousser ta robe pour exhiber ta fente nue, ce serait mal parce que des enfants pourraient te voir sur cette place et ils ne comprendraient pas ton geste. Par contre, si tu t’assieds à côté de ta maman, face à moi, tu pourras le faire : seuls ta maman et moi le verront. J’ai le droit de te demander cela, et tu as le droit de refuser. C’est cela, vivre librement. Raphaëlle, j’ai envie que tu exhibes ta fente. Raphaëlle regarde Marc puis sa maman. Elle se lève, vient s’asseoir à côté de sa mère, écarte les cuisses et remonte sa robe, excitée de sentir leurs regards sur elle. Elle se cambre et regarde sa maman avec un sourire, cherchant l’approbation dans son regard. Marc poursuit : — Tu aimerais que ta maman pose sa main sur ta fente, n’est-ce pas ? Alors ...
... pourquoi ne pas le lui demander ? Elle peut refuser ou alors elle peut le faire, et toi tu peux fermer tes cuisses pour refuser sa caresse. — Maman, j’ai envie que tu poses ta main sur ma fente, que tu me caresses… — Oui, mon bébé ; oui, je vais toucher ta fente. Et Isabelle caresse tout doucement la fente de sa fille qui se mord les lèvres. — Humm, c’est bon, maman… Putain, que c’est bon ! — Tu es toute mouillée, mon ange ; tu es trempée. — Isabelle, le serveur apporte nos entrées ; pose la serviette sur les cuisses de Raphaëlle sans retirer ta main. Isabelle le fait en se mordant les lèvres. Le serveur s’approche et pose les assiettes, remarquant parfaitement les cuisses écartées, la serviette posée de manière incongrue sur la main d’Isabelle. Raphaëlle se penche vers sa maman et l’embrasse sur la bouche. Le serveur leur adresse un sourire complice et se retire. Isabelle mord les lèvres de sa fille, retire sa main, et après une seconde d’hésitation elle la tend à Marc qui lèche les doigts trempés de cyprine. Ils prennent l’entrée tout en continuant de discuter. Raphaëlle a gardé les cuisses ouvertes, goûtant le fait de sentir sa fente nue offerte. Marc répond aux questions des deux femmes de manière transparente, sans rien leur cacher de sa vie. — Marc, tu parles souvent de jeux quand tu parles de sexe. — Oui, mais peut-être que le mot est impropre. Ce que je veux dire, c’est qu’il faut explorer nos envies, nos fantasmes en les mettant en scène. Il faut jouer avec nos envies pour ...