1. Lisa et la vie de Château (1)


    Datte: 30/01/2019, Catégories: Divers,

    ... qu’il faut pour passer le temps. Mais là encore, cela n’a pas suffit, alors, parce que j’étais à bout, qu’ils allaient mal, j’ai encore cédé mais d’une autre façon et je dois l’avouer, à ma grandehonte, je les ai laissé faire ce qu’ils voulaient sur moi, avec moi, leur mère, et je me suis rendue compte que dans cet état là, ils ne faisaient plus la distinction entre moi et une autre femme. » Elle était au bord des larmes.« Un soir, ils sont venus contre moi et fatiguée, je les ai laissé me toucher, me humer, puis me lécher, me tripoter, me déshabiller et je les ai masturbés lorsqu’ils ont pris ma main pour la poser sur leurs sexes. Ils savaient quoi demander et obtenir et comment, puisqu’ils avaient vu tous les films possibles en la matière. Ce soir là, ils ont jouit et éjaculé 6 ou 7 fois chacun avant que je me lasse et parte de la chambre, épuisée et honteuse, terriblement honteuse. Quelques jours plus tard, ils m’ont amenée sur le lit et ont voulu que je les masturbe à nouveau. Je me rappelle, j’étais venue leur donner les médicaments du soir et j’étais en tenue de nuit, chemise et peignoir de soie. Alors que je caressais le sexe de Joslin, des deux mains, il appuyé sur ma tête pour que je fasse cela avec la bouche. » Elle pleurait et cachait son visage entre ses mains. J’ai posé ma main sur sa joue. Elle a souri puis a continué son récit. « Je l’ai fait Lisa, je l’ai léché et sucé un peu puis, me rendant compte de ce que j’étais en train de faire, j’ai arrêté et me suis ...
    ... relevée. J’ai essayé de leur expliquer que l’on ne peut faire cela entre mère et fils. Ils m’écoutaient mais semblaient ne pas bien comprendre le problème. Alors, j’ai craqué et je les ai fait jouir, plusieurs fois, de la bouche et des mains, plusieurs soirs de suite, l’un et l’autre. Je me disais que c’était un geste médical, finalement. Un soir, plus tard, ils ont voulu me pénétrer. J’ai refusé en m’énervant un peu et ils ont pleuré en se tassant l’un et l’autre dans un coin de la chambre alors, j’ai cédé tellement cela me faisait mal de les voir ainsi et ils m’ont pénétrée, moi, leur mère, après leur avoir fait mettre des capotes.» Elle était en larmes et l’émotion me gagnait. « Leurs sexes sont venus en moi et j’ai encore en mémoire physique interne, ces gros sexes qui emplissaient mon ventre. Après quelques soirées à faire cela avec eux deux, j’ai refusé de poursuivre et j’ai fait appel à des professionnelles de la chose. L’une d’elle est même restée deux ans, elle venait une fois ou deux par semaine, selon ses disponibilités. Malgré tout, ils me demandent parfois de les caresser et il m’arrive parfois de le faire encore, pour les soulager, à ma plus grande honte. » Elle s’est effondrée devant moi. J’ai de nouveau posé ma main sur sa joue. J’étais vraiment sous le choc de ces aveux aussi sincères que poignants. « Il ne faut pas avoir honte madame ; je crois bien que toute mère aurait agi ainsi. Vous vivez une telle situation ! » Elle a relevé la tête, les yeux brillants ...
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