Lisa et la vie de Château (1)
Datte: 30/01/2019,
Catégories:
Divers,
... mon genoux tandis que son autre main est venue autour de mon cou, se poser sur mon épaule. Cet attouchement inattendu m’a fait frissonner même si Arnault m’avait prévenue. « Lisa, vous êtes adorable, mon petit ! » Ce disant, elle est venue poser ses lèvres sur ma joue. « Et votre parfum est exquis. Anaïs, n’est ce pas ? » « Oui madame, je l’aime beaucoup et je le porte souvent. » Ses doigts jouaient sur ma nuque en délicates volutes et je frissonnais comme à chaque fois que l’on me fait cela. Son autre main lissait le soyeux de ma robe. « Vous êtes si belle ! » J’ai rougi. « Merci madame ! » Elle me regardait et je lisais le désir dans son regard. Elle a de très jolis yeux verts et un doux regard de myope, Mme de Siennes. Elle s’est penchée un peu vers moi. « Puis-je vousembrasser, mon petit ? « J’ai parfaitement joué l’innocente en répondant : « Mais bien sûr madame ! », et j’ai tendu ma joue. Elle y a déposé un tout petit baiser et a ajouté : « Oui, comme cela, mais pas seulement Lisa ! » Elle a doucement attiré ma tête vers elle, du bout des doigts et m’a demandé de fermer les yeux. J’ai fait comme elle le souhaitait et elle a posé un tout petit baiser sur mes lèvres. J’ai sursauté. « Oh, madame ! » J’ai rougi et baissé les yeux en penchant ma tête sur mon épaule. « C’est la première fois, je n’ai jamais été embrassée par une femme ; j’ai un peu honte à mon tour! » Elle caressait ma joue tout en me souriant. « Il ne faut pas, c’est normal, entre amies, et vous êtes mon ...
... amie, n’est ce pas ? » Elle déposé un autre petit baiser sur mes lèvres. « Cela vous déplaît ? » J’ai encore rougi. « Non madame, c’est très doux, ces petits baisers entre amies ; vous avez raison ! » Elle a souri, plus largement et son visage s’est illuminé. « Je peux recommencer alors ? » Je crois bien que j’ai rougi un peu plus. Elle devait être très contente. Ma timidité lui plaisait. Elle se sentait plus sûre d’elle. « Vous êtes charmante, tellement innocente ! » Elle a recommencé à me baiser les lèvres, une fois, deux fois, trois fois, dix fois peut-être plus, puis le petit bout de sa langue a franchi la barrière de ses lèvres pour se glisser, se faufiler entre les miennes. Elle a recommencé cela encore et encore et sa main caressait ma cuisse par-dessus le tissu. Elle s’est relevée et m’a regardée. « Lisa, mon petit, acceptez d’ouvrir un peu vos lèvres et votre bouche ! » J’ai rougi encore un peu et joué de l’innocence de mon regard en lui répondant : « Je n’ose pas madame.» Elle a caressé ma joue et son doigt a caressé mes lèvres. « Votre bouche est si belle. Vous voulez bien essayer ? » J’ai hoché la tête d’un air parfaitement timide. Une vraie oie blanche ! Elle est venue tout contre moi, a posé sa main sur ma nuque et m’a embrassée et sa main a remonté ma robe tout en haut de ma cuisse. J’ai repoussé le tissu. Je l’ai laissée m’embrasser encore et encore et sa main est revenue à la charge. Je l’ai repoussée encore une fois puis je l’ai laissé faire. Elle a bien ...