Alter ego
Datte: 14/08/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
init,
prememois,
inithf,
Le Mans, le mardi 22 juillet 1902Mon cher Henri,Ce petit mot rapide avant ton arrivée dimanche prochain. Je ne peux pas garder ça pour moi tout seul, il faut que je te mette au courant. Ça y est, j’ai « connu » une femme !Comme tu le sais, depuis les vacances, l’oncle m’a embauché à l’atelier où je joue les bouche-trous le temps de trouver une remplaçante à Arlette, la petite arpette, qui est repartie aider ses parents à la ferme. Hier, il fallait livrer une robe chez une dame de la rue Nationale.Là, un larbin en livrée m’ouvre et ne cache pas son étonnement devant le fait que je sois un garçon. Après être allé en conférer avec sa maîtresse, il m’introduit auprès d’elle. Encombré comme je l’étais avec le grand carton de la robe et les petits des accessoires, je ne fais pas attention jusqu’à ce qu’elle me dise de tout déposer sur le lit. J’étais dans la chambre de la dame et elle se tenait devant moi en chemise. Quand j’ai relevé la tête pour la saluer, j’ai dû rougir jusqu’aux oreilles et j’ai bredouillé un vague « bonjour madame ».Je la sentais partagée entre le rire devant le comique de la situation et la contrariété d’être en face d’un garçon. Elle m’explique alors que sa servante s’est absentée pour la journée et qu’elle attendait Arlette pour essayer la robe puis l’habiller pour la journée. Son regard me balaye de haut en bas puis elle éclate de rire. Gentiment elle me demande mon nom ; je lui réponds en bredouillant. Elle sourit et me dit : « Eh bien Edmond, puisque tu ...
... es là, c’est toi qui va m’habiller ! » Je balbutie que je ne saurai pas ; elle me répond que si je suis ses indications, ça ira très bien.J’étais en face d’une femme d’une trentaine d’années, un peu ronde, mais sans excès et dotée d’une belle poitrine que je voyais balancer doucement à chacun de ses mouvements. Sa chemise ne cachait pas grand-chose et, quand elle a vu que je l’observais, deux pointes se sont dressées comme pour transpercer le tissu. Elle portait en dessous une culotte garnie de rubans qui la couvrait jusqu’à mi-cuisses.Tu imagines aisément que cette vision ne m’a pas laissé indifférent. Quand son regard s’est fixé sur la bosse de mon pantalon, je ne savais plus où me mettre. Surtout quand elle a ajouté : « Alors jeune homme, on dirait que je te fais de l’effet… »Bien sûr, dimanche je te raconterai tout en détail mais, dès maintenant, je voudrais t’en dire assez pour te faire rêver jusque là.Elle a tâté mon engin puis l’a sorti du pantalon. J’étais pétrifié. Elle m’a caressé, doucement au début ; alors j’ai osé la toucher, elle n’a rien dit, elle a même fait passer sa chemise par-dessus sa tête. Tu te rends compte, pour la première fois de ma vie, je voyais une femme nue !J’ai caressé sa poitrine. C’est très curieux, c’est à la fois ferme et très doux. Je me suis penché pour la téter ; elle avait l’air de beaucoup aimer. Puis elle a pris ma main, l’a fait entrer dans sa culotte et l’a posée dans son entrejambe. Sous les poils qui me chatouillaient, j’ai senti ...