1. Alter ego


    Datte: 14/08/2017, Catégories: fh, fplusag, jeunes, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme odeurs, intermast, Oral 69, pénétratio, init, prememois, inithf,

    ... me parle de son frère qui n’a qu’un an de moins qu’elle. Apprenant qu’il n’a que dix-sept ans, j’en déduis qu’Amélie en a dix-huit, comme moi. Elle m’explique comme ils sont proches, complices même. Elle est malheureuse de le voir partir l’année prochaine dans une école de la marine à Rochefort mais, bien sûr, lui nage dans le bonheur. Sauf pour assurer la bonne direction de ma bicyclette, mon regard ne la quitte pas. Je me délecte de sa personne, elle est si simple, enjouée et tellement belle ! Je suis heureux… Par hasard, je lève les yeux et aperçois une barre de gros nuages noirs à l’horizon. — Amélie, il va falloir accélérer. Je crois qu’un orage approche, nous allons nous faire tremper.— Tu as raison, allons-y ! Finie la douce promenade, je commence à appuyer sur les pédales et, de ma main droite dans son dos, j’aide Amélie à prendre de la vitesse. Je suis surpris de découvrir que ce contact m’est très agréable et je le maintiens beaucoup plus longtemps que nécessaire car Amélie est une fille sportive et elle a vite pris le rythme ; cependant, elle ne dit rien et j’ai l’impression qu’elle aussi apprécie ce contact. Nous n’aurons pas le temps de rejoindre Le Mans ; les nuages commencent à couvrir le soleil et nous découvrons dessous des lueurs annonciatrices d’éclairs violents. Je regarde autour de nous, à la recherche d’un abri. À trois ou quatre cents mètres, sur la gauche, dans un pré une construction basse semble pouvoir nous abriter. Je la désigne à Amélie et ...
    ... nous fonçons le plus vite possible sur la route. Arrivés à hauteur, nous descendons de bicyclette pour traverser le petit fossé qui borde la prairie puis nous courons dans l’herbe tenant notre machine par le guidon. Des gouttes énormes commencent à tomber. En un instant, ça devient un véritable déluge et nous sommes complètement trempés quand nous arrivons sous le toit de cette petite construction rustique, sans murs avec seulement une grande mangeoire sur un côté et un bassin en pierre qui se remplit d’eau de pluie par une gouttière. Essoufflés, nous nous regardons en riant. Sous son canotier trempé, les anglaises d’Amélie ont disparu, ses longs cheveux lui collent au visage et aux épaules, ses vêtements dégoulinent et elle est secouée de rire par mon aspect qui ne doit pas être plus rutilant que le sien. Tout à coup, nous sommes éblouis par une lumière d’une intensité extrême accompagnée d’un sifflement déchirant suivi instantanément d’un craquement infernal. Dans un hurlement que je perçois à peine, Amélie se jette dans mes bras ; la figure enfouie dans mon cou, elle me serre de toutes ses forces et je sens tout son corps trembler. Moi-même, je suis abasourdi par la violence des éléments, par la brutalité de cette commotion dont je ressens encore la vibration dans tout mon squelette. Convulsivement, je serre Amélie contre moi jusqu’à ce que je commence à prendre conscience de notre situation : je tiens dans mes bras une femme charmante, je sens sa poitrine s’écraser sur la ...
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