Alter ego
Datte: 14/08/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
init,
prememois,
inithf,
... mienne, l’eau dont nos vêtements sont gorgés me communique sa chaleur, son ventre épouse le mien… Par dessus son épaule, j’essaie de percer le rideau d’eau qui dégouline du toit. La foudre est tombée à quelques mètres de nous sur l’un des platanes qui bordent la route. La partie supérieure de l’arbre s’est fendue en deux et pend lamentablement. La pluie qui tombe en rafale maintenant a déjà éteint le foyer qui s’était déclaré dans les branches. Presque en dehors de ma volonté, ma main droite parcourt le dos d’Amélie, descend le long de sa colonne et vient se loger dans le creux de ses reins. Je presse tendrement, je me veux rassurant. De son côté, elle répond à cette gentille étreinte en déplaçant son bassin de façon à ce que ses cuisses viennent enserrer la mienne sur laquelle elle se presse convulsivement. Tout à coup, elle prend conscience de sa position et s’écarte de moi brusquement. Elle me regarde en souriant pour masquer sa gêne. — Mon Dieu ! Qu’est-ce que j’ai eu peur. Heureusement que tu étais là… me dit-elle.— Ce n’est pas encore fini, mais ça m’étonnerait que ça retombe aussi près. Il va falloir se sécher, nous allons attraper la mort. Heureusement qu’il ne fait pas froid.— Je trouve même qu’il fait étouffant.— Une minute, je crois que j’ai ce qu’il nous faut. Je vais fouiller dans les sacoches de ma bicyclette et j’en sors les deux grandes serviettes que j’y avais mises dimanche avant d’aller canoter. Je vais pour envelopper Amélie dans l’une d’elles quand elle ...
... m’arrête : — Attends, tu vas tremper la serviette sans rien sécher. Et elle commence à déboutonner son chemisier. Elle le retire en me tournant le dos, le jette dans la mangeoire et passe ses deux mains en pince au-dessus de ses épaules pour que je lui donne la serviette. Elle porte juste une fine chemise qui lui colle à la peau. Elle se retourne vers moi : — Tu devrais en faire autant… Dont acte. Nous voici tous les deux enveloppés dans une serviette. Après son moment de panique de tout à l’heure, c’est elle qui prend la situation en main : — Viens-là, je vais t’essuyer le dos. Après, tu le feras pour moi. Je m’approche d’elle et, vigoureusement, elle me bouchonne les épaules et les côtes avec la serviette. Nous rions. Puis elle se retourne et c’est moi qui lui essuie le dos. Ce geste, pourtant bien innocent, commence à éveiller en moi un certain émoi. Je sens comme un nœud derrière le plexus solaire qui me fait respirer plus vite et mon sexe, pourtant bien endormi, semble avoir quelques velléités d’éveil. Elle me reprend la serviette des mains, la remet sur ses épaules et place sa longue chevelure par-dessus. D’un mouvement gracieux, elle entoure ses cheveux et forme un turban qu’elle noue au sommet de son crâne. Elle est là, face à moi, les bras en l’air. Plus rien ne vient dissimuler à mes yeux sa poitrine tout juste recouverte d’une fine chemise rendue transparente par l’humidité. Mon visage doit laisser transparaître mon émotion car elle me sourit gentiment et reprend ...