1. Alter ego


    Datte: 14/08/2017, Catégories: fh, fplusag, jeunes, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme odeurs, intermast, Oral 69, pénétratio, init, prememois, inithf,

    ... de la langue qui, timidement va caresser l’autre langue. Un frisson délicieux nous parcourt. Ma main, de moins en moins timide, a quitté le sein pour lui caresser tout le buste ; finalement, elle s’insinue sous la chemise pour découvrir la merveilleuse délicatesse d’une poitrine féminine. Nos langues se sont enhardies, elles virevoltent, palpent, glissent doucement puis reprennent leur frénésie. Instants merveilleux de la découverte du plaisir. Elle est assise de côté, entre mes jambes écartées et sa hanche s’appuie sur mon bas-ventre. Elle ne peut que ressentir mon sexe tendu qui palpite contre elle. C’est bizarre, je n’éprouve aucune gêne pour cela ; son naturel vis-à-vis de son corps est contagieux. Ses cuisses, légèrement croisées, se resserrent convulsivement. Elle aussi connaît la montée du désir. L’atmosphère électrique des éclairs qui continuent de fuser, le grondement incessant du tonnerre, tout contribue à accroître notre désir. J’allonge Amélie sur la paille et fais descendre sur ses bras les deux fines bretelles de sa chemise ; je la dénude jusqu’au nombril. Je la couvre de baisers, son cou, ses épaules, elle frissonne. La pointe de ma langue dessine des arabesques sur sa peau. Je descends jusqu’au nombril passant entre ses seins, puis je remonte. Comme un chien, je lape la sueur qui perle sur sa poitrine, passant d’une rondeur à l’autre ; enfin, je prends entre mes lèvres l’un des deux tétons. Avec un gémissement, Amélie se tend de plaisir. Pendant que je tète, ...
    ... que je mordille, mes doigts font subir un sort analogue à l’autre téton. La tête d’Amélie bascule sans arrêt de gauche à droite et de droite à gauche et je l’entends qui murmure comme une litanie « Que c’est bon… Ah ! Que c’est bon… ». Mon autre main est descendue sur son ventre rond puis sur une cuisse et, comme aimantée, elle se retrouve dans son entrecuisse, happée puis serrée presque douloureusement par ses jambes croisées. Seule la toile d’une culotte toute simple me sépare de sa vulve dont je sens la chaleur intense. Amélie me soulève la tête pour que je puisse voir son visage. Elle a les yeux hagards mais remplis de tendresse, elle me dit doucement : — Henri, je suis heureuse comme jamais je ne l’ai été et je veux l’être encore plus. Je mets toute ma confiance en toi, je voudrais encore du plaisir mais je tiens absolument à garder ma virginité pour mon mariage. Je suis bouleversé par cet aveu et la confiance qu’elle met en moi. Aveu pour aveu, je lui réponds : — Tu es la première femme que je découvre aussi intimement. J’avais bien quelques connaissances livresques, mais devant toi j’ai tout oublié. Toutes mes caresses, je les fais par instinct. Guide-moi, apprends-moi ton plaisir et ce que tu ne sais pas encore, nous le découvrirons ensemble. Elle me reprend par le cou et nous repartons dans un baiser enflammé. Ma main repart en exploration vers son ventre. Elle relève sa chemise et passe ma main à l’intérieur de sa culotte, mais c’est vraiment très étroit. C’est un ...
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