Alter ego
Datte: 14/08/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
init,
prememois,
inithf,
... une posture nettement moins provocante. — Oh, Henri, pardonne-moi. Tu sais, avec Émile à la maison, nous ne sommes pas particulièrement prudes et nous avons l’habitude de nous côtoyer en sous-vêtements. Attends, je vais remettre la serviette.— Non, je t’en prie ; je ne suis pas bégueule, j’ai juste été surpris. Moi c’est un frère jumeau que j’ai, pas une sœur… Et puis… tu es très belle.— Pas de basse flatterie, ça ne marche pas avec moi. Tant que l’on y est, je suggère de retirer aussi, toi, ton pantalon et moi, ma jupe. Moins il y aura d’épaisseur, plus vite ça va sécher… Elle n’attend pas ma réponse et retire sa jupe qu’elle essore doucement et étale sur la mangeoire. Elle reprend son corsage, ma chemise et puis mon pantalon à qui elle fait subir le même sort. Il règne une chaleur lourde, difficilement supportable avec l’humidité. La pluie continue de tomber formant une cascade ininterrompue tout autour du toit. Heureusement que notre abri se trouve en haut d’un petit tertre, ce qui fait que l’eau s’écoule autour sans presque pénétrer en dessous. Il fait très sombre et rien ne laisse présager la fin prochaine de l’orage. Le tonnerre forme un roulement permanent et des éclairs, plus ou moins proches, viennent transformer soudainement nos visages en masques livides. Le sol, en terre battue par les sabots des bêtes, n’est pas très accueillant. Je fais le tour et découvre en bout de mangeoire une grosse brassée de paille mêlée de foin que j’étale par terre. Amélie étend nos ...
... deux serviettes sur ce matelas, prend deux pommes dans le panier et nous nous asseyons pour les manger. Tout à coup, un nouvel éclair très proche et suivi d’un terrible craquement jette à nouveau Amélie dans mes bras. Elle est secouée de sanglots ; je la berce doucement en lui disant des paroles lénifiantes. Elle me regarde et dépose un petit baiser sur ma joue, tout près des lèvres. — J’ai une peur panique de l’orage. J’essaie de faire la fière mais quand c’est trop fort, je craque ! Merci de ta patience. Elle me prend la main et la pose en dessous de son sein gauche. — Tu sens comme mon cœur bat ? Heureusement qu’il fait sombre et qu’elle ne me regarde pas, je dois être rouge comme une pivoine. Ce n’est pas son cœur que je sens, c’est le dessous de son sein qui pèse sur mon pouce. Je ne sais trop que faire. Je la regarde. Faute d’éléments de comparaison, je ne saurais vous décrire sa poitrine. Elle me paraît assez importante ; chaque sein est gros comme, disons, une pomme, et là, je distingue une pointe dressée qui semble vouloir percer le tissu. Sans que ma volonté n’intervienne vraiment, ma main remonte lentement et vient recouvrir cette douce rondeur chaude et élastique. Je sens la petite pointe toute dure qui vient chatouiller ma paume ; doucement, je caresse. Instinctivement, je trouve le mouvement qu’il faut, enveloppant, léger et ferme à la fois. Amélie se redresse et prend ma bouche. Nos lèvres s’écrasent, nos dents se cognent puis s’ouvrent pour laisser passer le bout ...