Alter ego
Datte: 14/08/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
init,
prememois,
inithf,
... ouvre. Encombré par le grand carton, j’entre dans un salon et découvre cette dame, assise dans un canapé, en train de siroter une tasse de café. — Ah, c’est encore toi, Edmond. Je l’espérais… Pose ça et viens t’asseoir. Elle tapote le siège à côté d’elle… — Veux-tu du café ?— Non, merci madame… Elle éclate de rire : — Madame… madame… Tu as déjà oublié… Quand on s’est quittés, tu m’appelais Noémie et tu me tutoyais ! Oh, la bourde ! Il faut que je me rattrape : — Oui mais, la dernière fois, c’était dans ta chambre et tu étais nue. Maintenant tu es au salon, habillée comme une dame… Elle me prend par l’épaule, me tire vers elle et m’embrasse légèrement. — Tu es mignon ! En souriant, elle me relâche et, regardant le carton : — Bon, montre-moi ce que tu m’apportes… J’ouvre le long carton posé à terre. J’écarte délicatement le papier de soie rose et je prends la robe que je présente à bout de bras. Je ne saurais trop la décrire. Sans bretelles, elle doit dénuder entièrement les épaules, la taille est très fine et elle s’élargit en une large jupe. Elle est d’un rouge sombre comme un vin de Bordeaux et me paraît très lourde. Noémie se lève et vient palper le tissu. Avec un sourire de satisfaction, elle la prend sur son bras puis regarde dans le carton. — Prends les jupons qui vont avec, là, et suis-moi dans ma chambre. Tu vas m’aider à l’essayer. Maintenant qu’elle est debout devant moi, je peux la regarder. Une figure toute ronde, mutine avec les cheveux remontés en un lourd ...
... chignon sur la nuque, elle a de petits yeux coquins et une grande bouche souriante. Elle porte une robe d’été, légère, à manches courtes qui lui couvre tout juste les chevilles. Amélie est toujours présente à mon esprit et je n’ai aucune envie de me laisser entraîner par cette femme. Le souvenir de ce que nous avons vécu sous l’orage est tellement fort que je ne ressens aucun désir de le dénaturer par d’autres aventures sexuelles. C’est vrai que Noémie a du charme mais c’est incomparable avec la fraîcheur, la simplicité d’Amélie. Les bras encombrés de jupons, je la suis dans l’escalier et nous pénétrons dans une grande chambre assombrie par des rideaux tirés. Il y règne une chaleur lourde imprégnée d’un parfum capiteux et entêtant. Noémie va entrouvrir l’un des rideaux pour faire un peu de lumière puis, devant une grande psyché, colle la robe sur elle et se dandine en se regardant. — Il faut vraiment que je l’essaie… Viens, tu vas m’aider. Elle dépose la robe sur le lit puis me tourne le dos pour que je puisse retirer la dizaine de boutons qui ferment la partie supérieure de sa robe. D’un mouvement gracieux des épaules, elle fait glisser les manches sur ses bras puis toute la robe tombe au sol. Un corset en toile épaisse lui enserre la taille et lui remonte la poitrine. Noémie se retourne et d’un air mutin me demande : — Tu veux bien retirer les attaches ?— Tu ne veux pas essayer la robe ?— Si, bien sûr, mais il faut que je change de corset et puis on a tout le temps… tu n’es pas ...