Alter ego
Datte: 14/08/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
init,
prememois,
inithf,
... possible. Notre problème, c’était toi. On était sûr que tu ne serais pas dupe de notre échange… Elle sourit doucement puis me regarde fixement dans les yeux. Son regard vert me transperce comme pour lire mes pensées. — Tu sais, mon garçon, que tout cela n’est pas un jeu. Même si tu trouves cela excitant, l’amour est une chose grave. Non, je ne veux pas t’empêcher de faire quoi que ce soit, je veux que tu prennes conscience qu’une femme, c’est pas un jouet… même Noémie Duclament. Si elle t’offre du plaisir, prends-le bien sûr, mais respecte-la comme n’importe quelle autre femme.— Oui, ma tante, je n’avais pas l’intention d…— Henri. Je t’aime comme si tu étais mon fils, autant qu’Edmond, peut-être même plus parce que tu es plus loin… Vis ta vie, prends du plaisir mais apprends aussi tout ce qui peut rendre une femme heureuse. Quand tu te marieras, en plus de ton amour tu sauras donner du bonheur à ton épouse et ça, c’est le plus beau cadeau que tu pourras lui offrir…. Et pour demain, je ne dis rien. Je vous regarde faire et j’espère bien m’amuser…— Oh, merci ma tante. Moi aussi, je t’aime… Je lui saute au cou et l’embrasse sauvagement. Par jeu, elle me repousse : — Caresse de chien, ça donne des puces… Nous nous quittons en riant aux éclats. —oooOooo— Pendant qu’Henri joue mon rôle à l’atelier, me voilà à la bibliothèque pour emprunter des livres en son nom. Les « Discours édifiants » de Kierkegaard, la « Dialectique de la nature » d’Engels –Beurk ! Quand je pense qu’il sera ...
... obligé d’étudier ça l’année prochaine !– et « Claudine à l’école » dont lui a parlé Amélie dimanche ; on dirait bien que cette demoiselle l’a beaucoup impressionné… La bibliothécaire me regarde un peu curieusement : — Vous pourrez emporter les deux premiers ouvrages, par contre le « Claudine » est sorti mais il devait rentrer dans la semaine. Voulez-vous que je vous le mette de côté ?— Oui, merci madame. Vous êtes bien aimable. Je me retourne et manque de bousculer une jeune fille que je n’avais pas entendue s’approcher derrière moi. — Amélie, quelle surprise ! Sans réfléchir, comme j’ai l’habitude de le faire, je me penche et dépose une petite bise sur sa joue. Elle s’empourpre, son regard vacille puis elle se reprend et me sourit : — Bonjour Henri, je devine qui vous êtes aux livres que vous avez pris… J’avais cru que c’était Edmond.— Bonjour Amélie, quel plaisir de vous rencontrer. Vous venez aussi emprunter des livres ?— Oui, non, enfin je viens rapporter le « Claudine » dont je vous ai parlé et voir s’il n’y en a pas un autre, une suite…— Je vous suis, je voudrais bien le lire, vous m’en avez dit tellement de bien… Elle rougit encore un peu puis me fait comprendre que le roman est un peu « leste ». Nous rions ensemble. La bibliothécaire enregistre le passage de main du livre et nous ressortons ensemble. — Savez-vous qu’Émile a trouvé le moyen de visiter l’atelier des frères Bollée après-demain. Il veut en parler à Edmond, il est sûr que ça va le passionner aussi. Il paraît ...