Le sommeil des ours
Datte: 31/01/2019,
Catégories:
fff,
frousses,
Collègues / Travail
bain,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
init,
... m’a crié : — Laisse tomber ! Viens te baigner !— J’ai pas mon maillot ! Léna s’est contentée de rigoler, et de se débarrasser de tous ses vêtements. Tous. Bien sûr, je ne suis pas particulièrement prude, et de toute manière, nous n’avions pas tellement d’intimité pour nous changer et nous laver depuis le début de notre petit périple. J’avais donc déjà aperçu les formes de mes camarades, mais je prenais en général soin de ne pas regarder dans leur direction, question de politesse élémentaire. Mais là, il n’était pas tellement possible d’ignorer l’opulente poitrine de Léna alors qu’elle gesticulait dans ma direction pour m’inviter à la rejoindre au bord de l’eau. Pendant que je protestai encore, pensant à mon épilation approximative et à mes grosses fesses, Louise se glissa sournoisement derrière moi et commença à me déshabiller sans me laisser le temps de réagir. Elle souleva mon débardeur juste assez pour bloquer mes bras au-dessus de ma tête et déboutonna mon short en moins de temps qu’il ne faut pour dire « string ». Je rougis. C’était effectivement ce que je portais ce jour-là. Plus exactement un tanga vert émeraude avec bordure en dentelles et petit nœud devant. Louise, qui s’était penchée pour mieux me débarrasser de mon short émit un petit claquement de langue appréciatif et s’exclama : — Oh, la coquette ! Puis elle me fit pivoter, bras toujours entravés par mes vêtements, pour faire admirer sa trouvaille à Léna qui s’empressa de siffler mon postérieur dénudé. — Sexy ...
... !— Très, approuva Louise en passant sa main sur la courbe de ma fesse droite. Mais ce n’est pas une tenue appropriée pour la randonnée, mademoiselle, continua-t-elle en se tournant vers son acolyte, n’est-ce pas Léna ? Celle-ci approuva avec enthousiasme qui fit tressauter sa chevelure rousse et son imposante poitrine. Louise sourit avec un petit air mutin. — Ça mérite une petite leçon. Et sans me laisser le temps de protester, elle m’asséna une petite claque sur la fesse droite, parfaitement dosée pour être légère, mais tout de même cuisante. — Aïe-euh ! Léna se réjouit de la teinte rosée qu’avait prise mon postérieur, pendant que son acolyte se décidait à finir de me déshabiller, me laissant nue et contrite, les pieds dans l’herbe. Je me décidai à aller dans l’eau, pour dissimuler la double rougeur de mes joues et de mes fesses. Et pour ne pas rester plantée là, telle la Vénus sortie des eaux, à essayer de dissimuler ma toison pas exactement taillée à la dernière mode. J’allais plonger l’orteil dans l’eau, assez fraîche, il faut le dire, de la cascade, lorsque Louise m’interrompit. — Attends, imprudente ! Je me tournai, inquiète, me demandant si je devais craindre une nouvelle fessée. — Tu as vu ta peau ? Tu vas brûler, si tu ne te protèges pas ! gronda-t-elle d’une voix sévère. La rousse Léna vint à ma rescousse. — Je m’en occupe, dit-elle à Louise. J’ai tout ce qu’il faut, évidemment, ajouta-t-elle à mon intention, en désignant sa poitrine laiteuse, couverte de taches de ...