1. Le sommeil des ours


    Datte: 31/01/2019, Catégories: fff, frousses, Collègues / Travail bain, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral init,

    ... Louise vint à ma rescousse. — Vous n’avez pas encore fini toutes les deux ? Je vous attends !— J’ai fait qu’un côté ! Louise poussa un soupir faussement exaspéré. — Arrête de frimer avec tes talents de masseuse, et laisse-moi faire ! Louise était sortie de l’eau, toute ruisselante, avait confisqué le tube de crème et envoyé Léna à la baignade, collant une moue boudeuse sur ses lèvres de rousse pulpeuse. La jolie brune me retourna comme un pancake sur ma serviette. Elle engloba d’un regard appréciateur mes mamelons dressés et mes cuisses maintenant pudiquement serrées sur mon sexe humide, tout en versant une quantité généreuse de lait de coco dans la paume de sa main. — Léna a pris des cours et maintenant elle peut pas s’empêcher de déployer tous ses talents à chaque fois qu’elle trouve une proie. Il faut dire que tu fais un très bon sujet, dit-elle en donnant une petite tape sur ma hanche. Et avant que j’aie eu le temps d’émettre l’idée que j’étais probablement capable de le faire moi-même, elle m’avait coincée entre ses cuisses brunes, fines, mais musclées, et elle s’était mise à appliquer la crème à son tour. J’étais bel et bien réduite au rang de pancake, que l’on tartinait sans demander lui son avis. Heureusement, elle n’avait pas la lenteur délibérée et provocante de Léna. Néanmoins, elle ne m’aidait pas non plus à retrouver mon calme. Ses mains étaient moins insistantes, mais elles étaient douces, et elle avait caressé de ses doigts gantés de crème mes clavicules, ...
    ... mon cou. Elle avait suivi mes côtes et tracé du pouce le contour de mes seins. Elle les avait enduits rapidement, efficacement, mais la sensation de sa paume contre mes tétons dressés était restée vive pendant qu’elle finissait de passer sur mon ventre. Et je n’étais pas insensible à son charme. J’avais noté depuis longtemps une certaine attirance pour les brunes espiègles, de préférence aux cheveux courts. Là, j’étais comblée. Celle-ci, en plus de correspondre parfaitement à mon unique fantasme féminin, était agenouillée nue au-dessus de moi. Sentir sa toison contre mon ventre était pour moi une sensation aussi nouvelle que troublante, qui évoquait immédiatement foule de questions. Et si je me redressais pour embrasser la bouche qu’elle gardait entrouverte dans sa concentration ? Et si je posais ma main sur ses hanches ? Et si je remontais un peu pour que son sexe ne soit plus contre mon ventre, mais tout contre le mien ? Je me mordis les lèvres à cette idée. Il fallait que j’arrête de laisser courir mon imagination, ou je risquais de perdre le contrôle à la prochaine caresse. J’avais toujours préféré les hommes avec certitude et n’avais même jamais embrassé une fille de ma vie, mais je ne pouvais pas nier l’attirance que je ressentais pour Louise. Cette petite séance de massage m’avait mise dans un état d’excitation assez avancé, et par-dessus tout j’étais curieuse. Très. Ma première expérience saphique était à portée de main, à portée de bouche, et pourtant je n’osais pas. ...
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