1. Le sommeil des ours


    Datte: 31/01/2019, Catégories: fff, frousses, Collègues / Travail bain, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral init,

    ... Comment réagirait-elle ? Nous n’étions pas à la moitié du séjour et l’ambiance risquait d’être sacrément refroidie si je me laissais aller à un geste déplacé. Je ne savais pas à quoi elle jouait, mais j’étais convaincue que l’attirance ne pouvait être qu’unidirectionnelle. Je n’étais qu’une idiote qui se faisait des films. J’espérais seulement que Louise ne se rende pas compte, qu’elle avait mis mes tétons dressés et ma chair de poule sur le compte de l’air frais de la cascade. Je resserrai les cuisses pour mieux dissimuler l’incendie qui dévorait mon entrejambe, mais la pression soudaine me fit presque gémir. Et Louise sépara mes genoux pour finir d’enduire mes jambes. Elle ne me facilitait vraiment pas la tâche. Heureusement, elle ne fit pas durer beaucoup plus longtemps ma séance de torture. Elle ignora mes tremblements d’impatience et mit la dernière couche de crème à son œuvre. Elle m’inspecta d’un œil critique et sembla satisfaite du résultat. Elle essuya du pouce une dernière trace blanche juste en bas de mon ventre. — Voilà, tu es prête. Et elle partit se baigner comme si de rien n’était. Je la rejoignis immédiatement. L’eau fraîche de la cascade ne soulagea que peu mon excitation au premier abord, si bien que j’envisageai de m’administrer moi-même le plaisir qui m’avait été si cruellement suggéré puis refusé, mais mes camarades ne m’en laissèrent pas l’occasion. Il fallut nager, puis jouer dans l’eau. La baignade se passa sans incident notable, si l’on excepte le ...
    ... fait que ces demoiselles prenaient un peu plus de libertés avec mon anatomie que mon confort ne le permettait. Mais globalement, je réussis à reprendre ma contenance et le contrôle de mes pulsions. Léna proposa ensuite de s’allonger un peu au soleil pour bouquiner, ce que j’acceptai avec plaisir. Je comptais en profiter pour me rhabiller un peu, mais Louise ne m’en laissa pas l’occasion. Selon elle, c’était dommage de risquer d’avoir des marques de bronzage, alors que nous étions suffisamment perdues dans la nature pour bronzer sans maillot. J’hésitai à lui faire remarquer que, de toute façon, je ne risquais pas de bronzer, surtout avec la quantité de crème indice 250 dont elles m’avaient tartinée, mais je décidai de tenir ma langue. Je n’étais plus à ça près. Je m’allongeai donc au soleil avec mon livre, et profitai de la chaleur des rayons sur ma peau nue. Il faut avouer que la sensation, après l’eau si fraîche des torrents canadiens, était tout simplement délicieuse. ********** Les jours suivants, nous croisâmes d’autres ruisseaux et d’autres cascades, et chaque fois je dus subir le supplice de la crème solaire. Léna enduisait mon dos et mes fesses avec une lenteur et une ferveur quasi religieuse et Louise prenait le relais sur mes seins et mes cuisses. Et loin d’être plus clémentes avec mon pauvre corps, elles s’enhardissaient. Elles faisaient durer le plaisir, ou le supplice selon les points de vue. Louise aimait dessiner « innocemment » le contour extérieur de mes seins ...
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