1. Véro à la plage


    Datte: 31/01/2019, Catégories: fhh, hplusag, plage,

    ... érigé à nouveau et commence à le manipuler lentement puis me tourne vers Robert dont je découvre seulement le visage à ce moment éclairé par un beau sourire. Je lui dis : — Venez près de moi. Et je pose ainsi mon autre main sur son pénis, mais à travers le slip. Je lui demande : — Voulez vous… ? Il se dénude alors et je constate que c’est vraiment un bel homme. Il est plus âgé mais mince, maigre presque, mais fort. Lui aussi est en érection, et son pénis est n’est pas aussi épais que celui de mon mari mais il est plus long, et je me demande quelle sensation on éprouve à se faire pénétrer par un sexe comme celui ci. Mais pas de précipitation ! Pour l’instant, je tiens un pénis dans chaque main que je masturbe doucement car j’ai envie que ça dure. Je touche aussi les testicules que je devine pleins. Quelle douce sensation que de sentir ces queues prêtes à me prendre et aussi d’utiliser ce mot que je jugeais jusqu’alors indécent. Ma chatte encore mouillée du traitement qu’elle vient de subir s’humidifie à nouveau. Je plonge ma tête vers le pénis de mon Jean-Jean, engloutis son gland goulûment et en joue avec ma langue. Mais bien vite, je le quitte pour prendre celui de Robert et constate avec plaisir que les sensations que je ressens ne sont pas les mêmes qu’avec mon mari. Je me sens l’état d’esprit d’un scientifique qui vient de faire une découverte majeure et énonce un axiome personnel important : des pénis différents procurent des sensations différentes ! Je passe de l’un à ...
    ... l’autre en les mouillant abondamment, ce qui en facilite la masturbation quand je ne les ai pas en bouche. Mes deux hommes soufflent bruyamment en me caressant les épaules, les seins, le cou jusqu’à ce que mon Jean-Jean n’y tenant plus passe derrière moi et me pénètre sans ménagement. En temps normal, il le fait doucement pour habituer les chairs à la présence de son pénis qui est épais, mais aujourd’hui la normalité n’est plus de mise et je pousse un grognement de bien-être à cette bien agréable intrusion. Je me mets à quatre pattes et me concentre sur le sexe de Robert que je lèche et suce avec application et gourmandise tout en le masturbant. Moi qui n’apprécie guère la fellation en temps normal, au grand regret de mon mari, m’y consacre avec fougue aujourd’hui ! Mais il est vrai que cette journée n’a rien d’ordinaire… Mon Jean-Jean qui a éjaculé il y a peu sur la plage me travaille la chatte avec force et endurance mais finit quand même par lâcher son sperme en moi en s’agrippant fermement à mes hanches. Quand il sort de mon vagin, je tourne mon fessier vers Robert et prends son pénis pour le guider en moi pour parachever le travail. Quelle femme n’a jamais ressenti la frustration de sentir une queue la quitter alors que le désir, lui, ne l’a pas quittée ? La solution est toute simple : continuer avec une autre (que de découvertes en une seule journée !). Au passage (si je puis dire), je vérifie la validité du théorème énoncé plus haut : les sensations varient en fonction ...