1. Amitié


    Datte: 01/02/2019, Catégories: fh, frousses, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, fsodo,

    J’ai toujours travaillé dans des milieux d’hommes, ce qui fait que je suis habituée à leurs allusions graveleuses et à leurs discussions cul, ça ne m’a jamais choquée, d’ailleurs je n’ai jamais été la dernière à en rajouter une couche, les surprenant le plus souvent. De la dernière entreprise où j’ai travaillé deux ans, j’ai gardé quelques contacts, dont Pascal. Pascal est un homme, petit, gros, pas très beau, mais très sympathique, jovial, enjoué et toujours prêt à rendre service, à me rendre service. Secrètement amoureux de moi, sans doute, bien qu’il m’ait toujours certifié n’aimer que l’exotisme via l’Afrique noire. Moi, qui suis nulle en informatique, il était toujours là pour me dépatouiller et m’aider dans mes périples bureautiques. J’ai trente-deux ans et lui quarante-deux, nous avions nos bureaux non loin l’un de l’autre, un peu à l’écart du pool de gestion, ce qui a fait qu’on s’est rapidement trouvé des atomes crochus. Même avant d’être mutée pour prendre des fonctions plus hautes, nous avions pris l’habitude d’échanger par mail. C’est là que ça a commencé. Une discussion sur nos habitudes vestimentaires. « Ne mets pas ça », ou « ça c’est joli », « ouvre un bouton de plus », « ce coloris ne te va pas »… bref, nous nous amusions à faire la critique constructive de nos habitudes vestimentaires. Lui pour sa bonhomie désastreuse envers les femmes quand il draguait, moi pour ma timidité maladive. Mais vint le temps de mon départ et nous avons dû continuer à discuter ...
    ... sur MSN, par twit et toujours par mails, pour garder le contact et continuer à nous conseiller de façon ludique. Coquins, mais sérieux et toujours soft, nos petits jeux nous soulageaient d’un travail fastidieux et répétitif. Il a donc continué à me conseiller dans le choix de certains de mes vêtements, en allant jusqu’à me vanner en prétendant que jamais je n’oserais me promener sans sous-vêtements. Piquée au vif et vexée, je lui avais dit que je pouvais le faire sans problème, avouant qu’il me fallait certes un peu de préparation psychologique, mais que j’étais sûre d’y arriver. Durant plusieurs semaines, il n’avait de cesse de me taquiner avec cette histoire. Je lui ai donc proposé de vérifier le samedi même, car je venais en tournée dans sa ville et je savais que je ne pouvais le faire sans le revoir. L’affaire était conclue, je devais juste aller boire un verre avec lui, uniquement vêtu d’une robe. Ce jour-là, je portais une robe boutonnée sur le devant, juste au-dessus du genou. Rien de bien provocant. En me voyant me diriger vers lui à la table du box du restaurant, Pascal a rigolé, il m’a fait la bise et en a profité pour me murmurer à l’oreille : — Je suis sûr que tu ne l’as pas fait!— Que tu crois, fais-je en riant, vérifie par toi-même. Je lui pris la main et la posais sur ma fesse. — Tu ne vois pas la trace d’un élastique !— Hum, et si tu portais un string ? me répondit-il en remontant lentement sa main sur mes fesses. Nous étions presque collés l’un à l’autre et je ...
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