Amitié
Datte: 01/02/2019,
Catégories:
fh,
frousses,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... savais comme il me faisait bander. Je suis sûr que tu as de jolies fesses toutes douces à caresser et accueillantes comme il faut. Oui, je te mordillerais bien les tétons en travaillant ta chatte, jusqu’à ce que tu me demandes de te prendre. Je te rendrais folle. Je t’assure. Et puis je te retournerais sur la table et je te prendrais la chatte puis le cul. Il ne releva pas la tête, captivé lui par mon entrejambe. Il sourit en me voyant rouge comme une pivoine du coin de l’œil, incapable de lui répondre, incapable de le quitter des yeux. — Alors de quoi parlions-nous donc ? me dit-il en relevant la tête.— Je… euh, je ne sais plus…— Non, tu as raison. Que penses-tu que nous puissions faire maintenant ?— Là, j’aimerais bien resserrer les jambes !— Ça t’excite, pas vrai ?— Disons que je ne pensais pas en arriver là avec toi, tu es un sacré pervers finalement.— J’ai juste envie de te voir nue depuis que je te connais, mais avec mon physique, les filles ne s’intéressent à moi que comme ami ou confident, jamais plus loin.— Et c’est tout ce qui te botte ? Un coup vite fait ou me voir nue ?— Te voir, oui, déjà. Tu as dû remarquer que personne ne vient alors qu’il y a des box libres ? J’ai demandé à Pierrot, le barman qui est un ami de nous accorder un long moment de tranquillité.— Humm, tu es vraiment tordu. Ses doigts tourbillonnent lentement sur mon bras m’hypnotisant presque. — Alors ? Et maintenant ?— Je ne sais pas trop, je ne pensais pas que, timide comme tu semblais l’être, ...
... tu irais si loin pour moi.— Moi non plus, mais ce n’est pas comme si nous n’avions pas partagé des détails de notre intimité.— Oui, ce n’est pas faux.— Alors, tiens, tu ne m’as jamais avoué : slip ou caleçon ?— Ah ! … caleçon.— Montre. Il me lâche la main, et se déboutonne le Pascals. — Regarde.— Ah mais ce sont des fleurs ? Tahitien ?— Baisse un peu ton pantalon, je ne vois pas bien. Et de se contorsionner pour baisser ses Pascals. Son gros ventre cache une partie de son sous-vêtement. — Sors-la.— Ici ? tu es folle !— Non, mais attends, et moi qui suis devant toi, face à la sortie, avec ma chatte à l’air ? Et toi, tu ne me la montres pas ?…— OK OK OK. Il sourit penaud, et déboutonne le malheureux bouton de son caleçon. Et extirpe sa queue. Sa petite queue, tendue, raide, humide, mais indubitablement petite. — Désolé, dit-il.— Pourquoi ?— Ben, je ne suis pas, comme on peut dire, euh… très bien pourvu.— Ce n’est pas la taille, tu sais… Décalotte-toi, c’est mignon. Je ne sais pas si c’est une remarque adéquate, mais il ne réagit pas et décalotte son gland turgescent. J’écarte un peu plus les jambes pour lui offrir un meilleur point de vue sur ma chatte déjà toute dégoulinante, tant qu’elle perle sur la banquette de simili cuir. Il hésite, et finit par se tenir le ventre et se branler du bout des doigts sa petite queue au gland violacé. Du coup, je ne peux pas moi-même en rester là, je me glisse un doigt sur la chatte et comme délicatement à me frotter le clito. — Non, arrête, ...