1. Amitié


    Datte: 01/02/2019, Catégories: fh, frousses, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, fsodo,

    ... dois avouer que sa main sur ma fesse, son ventre tout près du mien et sa voix qui murmurait me troublaient. Finalement, nous nous sommes installés au fond du box, quasi invisibles de la salle. Il attendit que notre commande soit servie pour se pencher sur la table et nous parlâmes de tout et de rien. Tels deux amis de longue date que nous étions, à nous raconter nos aventures, nos coups ratés et les quelques réussis, les potins du boulot. Mais après une demi-heure de papotage, il en vint à me demander tout bas : — Tu ne veux pas déboutonner un petit peu que je vérifie si tu as un soutien-gorge ou pas ? Je ne lui répondis pas. Je réfléchis en plantant mon regard dans le sien. Fera ? Fera pas ? Oh, et après tout, c’est un ami et je ne risque rien avec nos petits jeux puérils. J’ouvris deux boutons et écartai un peu les tissus. Mes tétons à peine cachés, il rougit en s’apercevant que, là non plus, il n’y avait rien, esquivant même un geste vers l’échancrure. — Tu m’as bien eu. Je ne pensais pas que tu oserais le faire.— Je suis une fille surprenante, répondis-je avec un clin d’œil.— Grrr ! Je n’aime pas perdre ! Il faut que je me venge. Réfléchissons… Ah ! Doucement, il me prit ma main dans la sienne et commença à me la caresser. La retournant, il en griffa un peu la paume en tournant son ongle doucement. — Tu vois le problème, dans cette tenue, c’est que si j’arrive à te faire mouiller, ça va se voir… Et il rigola franchement. Il prit un regard détaché et garda son regard fixé ...
    ... sur sa main qui jouait avec la mienne. Pendant ce temps, je retenais mon souffle, le fixant, ahurie sans même penser à retirer ma main de la sienne. Soudain, je me rendis compte que s’il n’était pas d’une beauté à couper le souffle, ni même beau, il y avait quelque chose de magnétique chez lui, sa voix grave et basse à cet instant précis, ses épaules larges, son côté brut et pourtant doux. Je n’osais pas répondre, il continuait en caressant doucement l’intérieur de mon bras, là où je suis si sensible, qu’il ne connaissait pas. — J’aimerais bien voir ce qu’il y a sous ta robe…— Mais tu sais que je ne porte rien !— Oui je sais, justement. J’aimerais qu’on ne soit qu’à deux et que tu déboutonnes un peu plus ta robe.— Tu me cherches, fis-je en riant. Attends, pose ta main et tu recommenceras après… Je déboutonnai alors trois boutons du bas de ma robe et, me plaçant de profil je croisai mes jambes, lui révélant mon intimité dans l’ombre. — Ah voilà donc ton jardin secret, et tu es une vraie rousse alors, juste… humm, oui un petit ticket de métro discret. Bien, merci… Et alors que j’allai reprendre ma place face à lui, il me dit en me reprenant le bras de ses doigts si doux : — Non, s’il te plaît, reste ainsi… Je ne répondis pas, hypnotisée par ses doigts sur mon bras. — Quand on bossait ensemble, m’avoua-t-il, j’aimais bien regarder tes seins bouger quand tu t’activais sur l’imprimante. J’imaginais qu’elle bougerait ainsi pendant que je te caressais les fesses. Et ton cul, si tu ...