Laina - chapitre 2
Datte: 04/02/2019,
Catégories:
fh,
couple,
forêt,
fsoumise,
hdomine,
miroir,
Oral
fdanus,
jouet,
baillon,
sm,
... son entrejambe en appuyant fermement. Dans ce geste, je suppose que le brin de mohair pénètre encore un peu plus loin son urètre. Laina pousse un cri. — Tu veux ma mort ! C’est trop pour moi, aujourd’hui ! Effectivement, après cette petite vérification, il semble que l’effet soit plus important que je ne l’imaginais. Je déboucle son ceinturon, déboutonne son Jean et introduis ma main sous le body. Descendant doucement sur le bas de son ventre, le bas du body est plus qu’humide, trempé, à se demander si elle n’a pas fait « pipi dans sa culotte ». Mais non, portant mes doigts à ma bouche, je reconnais bien son bon goût de mouille. À regret, j’écarte le pompon « fautif » en le remontant au-dessus de son pubis, puis rhabille ma p’tite femme chérie. Pour finir, je desserre ses pinces à sein et lui retire la chaîne, qui rejoint le bâillon dans ma poche. Elle pousse des petits cris de douleur et de soulagement, en levant les yeux au ciel. Je glisse ma tête sous le poncho pour lui lécher, sucer, mordiller ses tétons meurtris afin de rétablir la circulation et adoucir sa douleur. Il est vrai que cela fait plus mal quand on les enlève que lorsqu’on les met en place. Je suis dans tel état d’excitation que j’approuve le retour rapide à la maison afin de me libérer et de passer à la suite du scénario que j’avais conçu ce matin. Nous rebroussons chemin. Le retour se fait plus calmement et sereinement. Je la tiens par la taille. Avec, à nouveau, le plaisir de sentir, sous ma main ...
... droite, son corps tiède, voluptueux, la laine et de profiter de la douceur de cette dernière, sur ma paume et sur le dessus (toujours cette fameuse double caresse). De temps à autre, ma main droite s’égare sur sa fesse et flatte sa croupe rebondie ayant droit, à chaque fois, à un regard désapprobateur, mais elle ne me dit rien. À peine arrivée à la maison, Laina s’affale sur le canapé, la tête sur un coussin et s’endort pratiquement instantanément. Trop d’émotions… Elle est belle ainsi, abandonnée dans le sommeil. Son joli visage de petite chatte, avec quelques mèches blondes qui glissent sur son front et ses joues. Elle a croisé ses mains sur son pubis, toujours emmitouflée, un petit sourire aux lèvres, elle rêve, mais à quoi ? Je m’agenouille à ses pieds, délasse ses chaussures de rando et les lui retire adroitement. C’est à peine si elle se réveille. Elle en profite pour s’installer en chien de fusil et replonge dans sa sieste. Délicatement, j’étale un plaid en mohair sur ses jambes et ses pieds pour qu’elle ne se refroidisse pas. Assis dans un fauteuil, je reste à veiller sur son sommeil. Je la regarde, amoureux comme au premier jour. Quelle chance que nos chemins se soient croisés et quel bonheur ce partage et cette complémentarité ! Enfin, vite dit car pour le moment et depuis ce matin, personne ne s’est occupé de moi, de mon plaisir et de ma queue qui palpite : « Je m’retrouve plantée, toute seule dans mon froc ». Mes projets sont à l’eau. J’attends son réveil… Ce qui est ...