La seconde chance
Datte: 04/02/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
couple,
copains,
amour,
Oral
préservati,
pénétratio,
init,
... embrasser doucement le torse, puis le ventre pour finalement redescendre peu à peu un peu plus bas. J’ai décalotté son sexe, je l’ai branlé doucement, embrassé, sucé, aspiré et léché, mais rien n’y a fait, cette queue que j’avais admirée si ferme et si fière il n’y a pas un quart d’heure, restait inexorablement en berne. Résignée, j’ai lâché l’affaire et me suis allongée à ses côtés. Il se fondait en excuses et ne cessait de quémander mon pardon : — Si tu savais comme je suis désolé Audrey, si tu savais comme je m’en veux. Tu es si belle, tu me plais tellement, je ne comprends pas… J’étais en colère, mais comme je ne suis pas méchante, je lui ai répondu, un sec et rapide : — Te fais pas de bile, c’est frustrant, mais pas dramatique. Dormons, ça ira mieux demain ! Ça ira mieux demain ? J’avoue que je n’y croyais plus vraiment. J’étais frustrée et le fait d’être bien avec lui me frustrait plus encore, car malgré ces déconvenues et malgré le fait que je ne le connaissais qu’à peine, j’étais tout de même en train de m’attacher. Je n’irais pas jusqu’à dire que je tombais amoureuse, mais de forts sentiments étaient en train de naître en moi malgré tout. Il n’a pas tardé à trouver le sommeil, moi c’était plus difficile. Ayant un peu soif, je me suis levée dans le but d’aller me désaltérer au robinet de la cuisine, j’ai enfilé un tee-shirt ainsi qu’une petite culotte et je suis sortie en catimini de la chambre. Je me suis dirigée sur la pointe des pieds vers l’évier et en saisissant ...
... un verre, j’ai senti deux mains se poser sur mes hanches. Lorsque je me suis retournée, à ma grande surprise, ce n’était pas Marc que je découvris. — Renaud ? Mais que fais-tu ?— Chut, tu vas réveiller mon pote ! Alors, on a rencontré quelques déboires avec lui ? Confuse qu’il ait pu nous entendre, mais un peu gênée aussi, je lui ai répondu, outrée : — Ne me dis pas que tu écoutes aux portes ?— Eh bien, vous n’étiez pas vraiment discrets et c’est un tout petit appart…, les murs y sont fins ! Il se tenait là en caleçon, devant moi à moitié nue et même s’il me semblait bien qu’il mourrait d’envie de m’embrasser, il n’en a rien fait. Il a au contraire pris un air gêné et embarrassé, certainement tiraillé entre l’envie de se jeter sur moi et la crainte de se faire remballer, il est resté là immobile et pantois. J’aurais dû le repousser, j’aurais dû… mais j’étais morte de faim, j’étais en feu ! Marc m’avait frustrée et j’avais une folle envie de sexe, alors sur la pointe des pieds, j’ai doucement passé mes bras autour de son cou et lui ai dit d’un ton coquin : — Qu’attends-tu pour me prendre ? J’ai envie de toi ! Et je l’ai embrassé… Il m’a timidement rendu mon baiser, doucement et avec attention les premiers temps, puis il s’est finalement très vite enflammé. Ses mains, alors sur mes hanches sont descendues jusqu’à mes fesses pour les empoigner fermement, j’ai senti son sexe durcir de plus en plus contre mon ventre et à partir de là, tout a été très vite. Il m’a retournée, il m’a ...