La seconde chance
Datte: 04/02/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
couple,
copains,
amour,
Oral
préservati,
pénétratio,
init,
... les autres, chacun de ses souffles, chacune de ses caresses me chaviraient les sens et mon abricot dégoulinait de plaisir. Je suis alors descendue embrasser son sexe, si beau et maintenant si dur pour moi qu’il semblait réclamer mes baisers. J’y ai d’abord déposé une légère bise sur le bout du gland, il m’a semblé le sentir frissonner. Je l’ai embouché doucement en tirant légèrement la peau de son prépuce vers le bas afin de le décalotter entièrement, j’ai entendu Marc gémir. Je me suis ensuite laissé entraîner par le désir qui m’envahissait et ma gâterie s’est faite de plus en plus ardente, de plus en plus passionnée et je l’ai dévoré. J’étais affamée, affamée de sa queue alors je la léchais, je la branlais de plus en plus fort, j’aspirais son gland pour avaler ensuite sa tige de tout son long, je la ré-aspirais et la re-branlais, elle était bonne, si bonne… J’avais envie d’elle… ! Non, pas d’elle ! J’avais envie de lui, je l’aimais et voulais son bien, son bonheur… je l’aimais à la folie, éperdument ! Marc gémissait de plus en plus, il se dandinait de plaisir et qu’est-ce qu’il était beau ! Dans un souffle, il me supplia d’arrêter : — Stooop ! Je vais venir Audrey, attention ! Mais non…, je ne pouvais plus arrêter maintenant, je ne le voulais plus, car la seule chose qui m’intéressait alors était de le voir jouir. Je désirais qu’il prenne son pied, qu’il prenne du plaisir, énormément de plaisir…, j’ai donc intensifié encore mes caresses et suis devenue autiste à ses ...
... exigences. C’est en le suçant avec encore plus de cœur que je l’ai à nouveau entendu me crier : — Je viiiens, ma puce, c’est troooop booon ! L’idée de le laisser exploser de plaisir sous mes baisers m’a traversé l’esprit, le laisser imploser de bonheur entre mes lèvres m’a vraiment tenté, mais une appréhension m’a fait arrêter de le sucer, pas de le branler. J’ai au contraire intensifié cette action et dans un râle roque et profond Marc s’est lâché dans une jouissance superbe. Il n’en finissait plus d’éjaculer, son visage se déformait par des rictus de plaisirs, il était magnifique et si beau que je suis restée subjuguée et émerveillée par l’intensité de son orgasme. La réalité me revint d’un coup à l’esprit. Je l’aimais, j’étais bien avec lui, mais je venais aussi de me faire son pote et par la même occasion, de l’humilier. Soit il n’avait réellement rien entendu, soit un détail m’échappait ? Qu’il n’ait rien entendu m’étonnait vraiment et je trouvais cela plus qu’improbable, mais sa façon d’être avec moi me laissait penser qu’il me restait peut-être une chance. Avec la boule au ventre, j’ai quand même essayé de le jauger un peu. — As-tu bien dormi hier ?— Oh, ma puce, je suis vraiment désolé de t’avoir laissé en plan, je me suis écroulé comme une souche… l’alcool sûrement ! Sa réponse me rassura quelque peu, j’avais vraiment une chance de cocue ! (Euh le terme est mal choisi… j’avais une chance inouïe serait plus approprié.) Si Renaud restait discret concernant notre nuit tout ...