Moi, Marie-Cécile de La Tournelle
Datte: 05/02/2019,
Catégories:
f,
fh,
couple,
amour,
intermast,
conte,
prememois,
initfh,
Avec un nom à particule et un prénom composé inutile de spécifier mes origines nobles. Affublée en prime, d’une jupe tombant bien en dessous des genoux et plissée, s’il vous plaît ! Ajoutez le chemisier col Claudine et de superbes mocassins plats, et concluez : rien d’étonnant qu’elle soit encore vierge, la Marie-Cécile. Ah, j’oubliais ! L’accessoire indispensable, le serre-tête en velours : depuis mon enfance, je porte quasiment toujours la même tenue. Lorsque j’ai fait mes études, j’ai bataillé dur avec ma chère mère pour porter des tenues plus actuelles mais Madame de La Tournelle n’a jamais cédé à ce qu’elle appelle des caprices de jeunes filles. Mes études terminées, je rejoins tout naturellement l’entreprise familiale. Vierge certes, mais pas de problème d’emploi. Une vie parfaitement ennuyeuse où les codes de bonne conduite sont très prisés, où le moindre écart n’est pas envisageable. Mes amies sont les mêmes depuis l’enfance. Certaines sont déjà mariées et mères. D’autres attendent, comme moi, le prince charmant, si toutefois il existe. En tout cas, j’ai beau regarder par la fenêtre de ma belle cage dorée, je ne le vois point venir. Et je commence quand même à m’en inquiéter. Car, non seulement je ne suis pas déflorée mais, hormis mon corps, je n’en ai point vue d’autre. Je ne sais toujours pas à quoi ressemble un corps d’homme. Je ne connais pas les sensations procurées par des caresses et des baisers. J’avoue que mes hormones en sont toutes chamboulées. Je n’ai ...
... jamais non plus, osé pratiquer la masturbation, nous entendons tant de choses négatives à ce sujet dans mon cocon familial. Erreur ! Je m’y suis risquée une fois. Si on peut appeler ça se masturber. C’était il y a cinq ans. Je reviens d’un après-midi chez Anne-Sophie, ma meilleure amie, où nous avons abordé le sujet tabou du sexe. La discussion me laisse entrevoir de nouveaux horizons inconnus que je me risque à découvrir le soir même. Dans l’intimité de ma chambre, enfouie sous mes draps, je soulève ma chemise de nuit et je touche mes seins. Je les découvre, j’ose une caresse, mes pointes se tendent. Mon90 C se gonfle. Je suis surprise. J’ai honte mais je trouve cela agréable. Je reconnais, je suis un peu godiche. Anne-Sophie m’a confié qu’elle touche son sexe régulièrement et qu’elle en éprouve un bien-être dont elle ne peut se passer. Godiche, vierge mais curieuse, donc je tente l’expérience. Je passe ma main sous ma culotte et entre en contact direct avec mon pubis. Ma main est inerte. Je trouve ça agréable. Je glisse un doigt dans ma fente et, telle une élève appliquée, je suis les précieux conseils de mon amie. Je fais de doux va-et-vient. Je reste en surface. Anne-Sophie ne m’a pas parlé d’humidité et, plus mon doigt se glisse sur mes lèvres, plus je suis humide. Je ne comprends pas ce qui m’arrive. J’ai peur. De plus, ma respiration s’accélère, mon corps se trémousse, qu’ai-je fait ? Crainte et embarras s’emparent de moi. Je stoppe tout. Je m’endors, mal à l’aise. Dans la ...