1. Moi, Marie-Cécile de La Tournelle


    Datte: 05/02/2019, Catégories: f, fh, couple, amour, intermast, conte, prememois, initfh,

    ... dire : — Que fais-tu ?— J’ai envie de te caresser. On sera marié dans deux mois, nous pouvons peut-être aller un peu plus loin.— Plus loin ? Plus loin, comment ?— J’ai envie de te caresser, laisse-toi faire. Il reprend ma bouche, et ses mains se posent sur ma poitrine. Le tissu de mon corsage évite le contact direct de sa paume sur ma peau, mais j’apprécie. Je sens mes seins se gonfler dans mon soutien-gorge. Nous en sommes là, à nous embrasser, et moi à me faire caresser par mon fiancé lorsque nous entendons une voiture se garer. Décidément, j’ai la poisse ! Nous ne pouvons donc pas être tranquilles ! Nous rejoignons la cuisine, déçus l’un et l’autre d’être arrêtés dans notre découverte sensorielle. Quelques jours plus tard, c’est chez Pierre-Emmanuel que nous trouvons un peu d’intimité. Nous nous sommes revus depuis ces caresses mais n’avons pas goûté de nouveau à ce fruit défendu. Mes hormones me travaillent mais celle de mon fiancé encore plus. Je suis allongée sur son lit, lui est assis devant son bureau à me montrer sur l’ordinateur des idées de pays pour notre voyage de noce. Quand une pulsion le saisi et il me rejoint sur le lit. Il m’embrasse, ses mains cherchent à me procurer de douce sensation. Il devient téméraire et en glisse une sous mon pull. Le contact de sa peau sur la mienne m’électrise. Sa main atteint mon soutien-gorge. D’abord timide, elle caresse l’étoffe puis elle se fait plus audacieuse et sort un de mes seins. Quel plaisir ! Vous me trouvez sûrement ...
    ... ridicule mais pour moi qui n’ai jamais connu ça, quelle heureuse découverte. Sa main prend de l’assurance, prend bien en main cette grosse pomme qui ne demande qu’à se faire croquer. Nous nous embrassons. Me voyant peu farouche, Pierre-Emmanuel découvre la seconde pomme. J’aime son massage mammaire, il me procure cette douce chaleur humide connue cinq ans auparavant lors de mon essai de caresse solitaire. Mon corps répond à Pierre-Emmanuel. Trop longtemps inexploré, il s’agite. Mon fiancé a le souffle saccadé. Il s’arrête, me regarde, m’implore pour que je lui ouvre d’autres horizons. Il doute, il ne sait pas si je vais lui offrir plus. Il prend ma main, la pose sur son entrejambe. C’est dur ! Je suis naïve : jamais je n’ai eu de cours d’éducation sexuelle. Pourquoi est-il tout gonflé ? Va-t-il exploser ? Oui, décidément, je suis trop naïve, un peu gourde n’est pas de trop. Mon futur mari me comprend, nous évoluons dans le même monde. Il me rassure, il m’explique. Il profite tout de même de mon immaturité pour aller plus loin. — Je vais te montrer, ma chérie. Me montrer ? Il est fou ! Nous ne sommes pas mariés ! C’est péché ! Mais la tentation est trop forte. Mon corps réclame, ma tête ne pense plus à ce qui est bien ou pas. Ma curiosité, mêlée d’envie, remporte le combat. Pierre-Emmanuel, déboutonne son pantalon. Son caleçon apparaît avec une tache d’humidité. Il le baisse et là, enfin, je découvre l’objet tant de fois imaginé ! Je suis émue. Je rougis. Il me regarde et prend ...
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