Bécassine (1)
Datte: 07/02/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... j’ai instauré sur la table. D’un geste du bras, elle balaie toute la surface pour y installer les assiettes, envoyant le tout s’écraser au sol. Je me crispe. — J’ai fait des pâtes ; j’espère que tu aimes. — Oui, ça sera très bien, merci. Elle s’installe sur le canapé à côté de moi et me sert les couverts. — Tu sais, si tu veux te mettre encore plus à ton aise… tenté-je, n’hésite surtout pas. — Merci, sourit-elle, mais ça ira. — Tu es sûre ? Même pas un bouton ou deux ? Tu es chez toi, après tout ; tu es libre de faire ce que tu veux. — Tu as raison : je suis chez moi, je fais ce que je veux ! déclare-t-elle en défaisant deux boutons de sa chemise. Hé hé, la naissance de ses seins est maintenant bien visible. Je ne me prive pas du spectacle puisque je suis censé être gay. Mon estomac crie famine, alors j’accueille le plat avec joie ; mais la première bouchée me fait vite déchanter : les pâtes ne sont pas assez cuites et elles manquent de condiments. Ce n’est pourtant pas compliqué à accommoder. Déjà, la base : un peu de sel et de beurre, ensuite, on peut ajouter du poivre, une petite sauce, un peu d’emmental ou de parmesan. Avec trois fois rien, on se retrouve avec un plat délicieux. Mais là, rien. — Hum, lance-t-elle, c’est bien meilleur que la dernière fois que j’en ai préparées. — C’est possible, ça ? lâché-je. — Oui. La dernière fois, je n’avais pas mis assez d’eau, et puis j’ai oublié la casserole sur le feu. Du coup, c’était grillé. Mais aujourd’hui, je suis fière de ...
... moi ! Eh ben… Elle ne brille ni par son intelligence ni par son talent de cuisinière, et elle est légèrement bordélique. J’en apprends pas mal sur elle, ce soir. Que me réserve-t-elle encore ? Je me force à manger pour ne pas paraître malpoli et pour me remplir le ventre, mais la tâche se révèle ardue. Quoi qu’il en soit, j’arrive à m’en sortir. Un verre d’eau pour faire passer le tout. — Avec combien de mecs au maximum t’as baisé ? Je veux dire, en une même fois ? Je manque de m’étouffer avec mon verre d’eau. — Euh… une. Enfin, un seul. — C’est tout ? Je vous pensais plutôt chauds lapins, vous, les gays ! Moi, au max ils étaient trois ou quatre… peut-être même cinq, je ne sais plus. — Ce n’est pourtant pas le genre de truc qu’on oublie. — Ouais, je sais, mais j’étais bourrée ce soir-là. Et quand je suis bourrée, je suis capable de coucher avec n’importe qui. — Ah oui ? Je reprendrais bien un verre de vin. Je t’en ressers un ? — Volontiers ! Merci. Je me ressers un fond et remplis le sien à ras bord. Elle avale le liquide une nouvelle fois d’un trait. Je n’attends pas avant de la resservir. La discussion continue ; elle me raconte son enfance en Bretagne. Je n’écoute que d’une oreille et profite du spectacle que m’offrent ses cuisses et l’ouverture de sa chemise. Elle enchaîne les verres de vin, si bien que son visage prend une coloration légèrement empourprée. — Pff ! Je commence à avoir bien chaud, moi ! déclare-t-elle, hilare. — Tu devrais peut-être ôter un autre bouton, ...