1. Souillure et plaisir (1)


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Hétéro

    ... en y repensant. Il attrapa ses jumelles ; après tout elles étaient de profil par rapport à lui, elles ne pouvaient pas le voir (il y croit le bougre). Le petit vieux s’en donna à cœur joie, de loin, il arrivait même à distinguer deux ou trois poils pubiens qui sortaient çà et là du bikini. La voisine il la brouterait bien, son amie aussi d’ailleurs, mais c’était que du bonus. La mère de famille modèle, il l’avait fantasmé plusieurs fois, surtout l’été avec son petit maillot blanc transparent dans la piscine. Ses tétons, sa toison, on voyait tout quand elle sortait de la flotte. Mais bon, là elle ne risquait déjà pas d’y entrer avec cette piscine toute dégueulasse. Putain qu’il rêvait de la prendre cette salope : pour sûr ça devait être une cochonne, elles l’étaient toutes. Dans sa jeunesse, il en avait fait fuir des femmes avec son brackmar : 25 centimètres de long pour presque 7 de large, même les putes en avaient peur. Mais aujourd’hui il vieillissait, et seule la voisine lui faisait encore atteindre la mi- molle. En y repensant, cette salope de bourgeoise l’avait toujours méprisé : ces riches, tous des bâtards. Lui c’était un faux, il avait gagné deux millions au loto, juste de quoi s’acheter une bonne maison et une belle voiture. Depuis il vivait sa vie pénard, en fantasmant sur la voisine. Il fallait absolument qu’il la revoie se baigner, sa petite chatte poilue il devait la revoir, sans quoi il banderait peut-être plus jamais (jamais dans l’abus le vieux) : et il avait ...
    ... un plan pour ça. Il laissa passer une petite semaine : de toute façon on n’est pas pressé quand on est à la retraite et plein aux as. Il attendit paisiblement que sa voisine sorte dans son jardin pour aller lui parler : — Bonjour Christine ! Ça fait un bail nom de dieu, comment allez-vous ? Christine sursauta : à moitié à poil en robe de chambre, elle ne s’attendait pas à se faire aborder par le voisin qu’elle venait de sucer dans ses fantasmes, même si elle en mourrait de honte ; autant dire qu’elle n’était pas prête. C’est à peine si elle arrivait à le regarder, encore torse nu avec le gras de son ventre qui lui tombait au-dessus de la ceinture et ses poils blancs qui lui sortait des oreilles, elle n’avait absolument aucune envie de lui parler. Et pourtant : — Oh George ! Et bien on laisse aller. Vous savez depuis la mort de mon mari c’est difficile, le moral n’est pas là tous les jours. Enfin que voulez-vous, c’est la vie ! — Je comprends vous savez, jeune le bougre il était en plus. L’important c’est d’essayer de pas trop y penser non ? Je veux dire : il fait beau, vous avez des amis, une piscine. A part votre mari tout va bien ! — Peut-être oui, répondit la belle agacée. Qu’il pouvait être con celui-là (oui, je suis de nouveau dans la tête de Christine) : son mari était mort, alors le soleil et la piscine elle avait plutôt tendance à n’en avoir rien à foutre. Quoi qu’effectivement une petite baignade lui permettrait de décompresser, et peut-être, qui sait, de se laver de ...
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