1. Souillure et plaisir (1)


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Hétéro

    Que dire de Christine ? A 20 ans elle s’était mariée à un jeune banquier plein d’avenir, qui s’est enrichi toute sa vie, partagé entre l’amour de sa femme et l’amour de son travail. Elle avait eu un enfant avec lui, une petite fille. Malheureusement la vie est parfois cruelle ; et un accident est si vite arrivé. En un simple accident de voiture, sa vie et celle de sa fille avaient changé du jour au lendemain, quand bien même la fortune laissée par sa disparition leur permettrait de vivre très correctement jusqu’à la fin de leurs jours. Certes c’est triste, mais on n’est pas là pour ça non ? Peut-être voudriez-vous que je vous la présentasse (c’est la classe non ?) : Christine doit faire dans les 55 / 60 kilos pour 1m75. Belle blonde, cheveux bouclés tombant sur le haut des épaules, avec un bonnet C, et ses seins ne tombent toujours pas (ou si c’est le cas, ça se voit pas), même à 45 ans. Mais réservée la dame, pas du genre à avoir une aventure avec n’importe qui, toujours bien fidèle à son mari. Voilà cinq mois que son mari a disparu. Sa fille s’est trouvé copain et boulot, elle passe de temps en temps. Elle semble suivre les traces de son père. Christine, elle, s’entretient : elle fait du sport, sort avec les copines, fait du shopping, se rase la foufoune pour entretenir un magnifique petit carré brésilien ; bref : on essaie de sauver les meubles pendant que mentalement rien ne va plus. Pour le travail, pas de problème, de toute façon cela faisait longtemps qu’elle avait ...
    ... laissé de côté son job d’aide-soignante ; mais plusieurs de ses amies la verrai bien se trouver un petit divertissement, c’est vrai. Petit ou non d’ailleurs. Mais elle non : une mère de famille modèle, même veuve, ne fait pas ça, après tout quelle décadence ce serait ? Le mari à l’époque, il avait droit à son coup de bistouquette une fois par semaine le dimanche soir et puis basta ! Alors elle restait chez elle, assise devant la télé en robe de chambre dès qu’elle n’avait rien de prévu. C’est con, puisqu’avec le retour de l’été elle pourrait aller faire bronzette près de sa piscine ; mais vu son état, pas nettoyée depuis l’année dernière (un peu comme elle d’ailleurs) l’envie n’y était pas non plus. Elle passa devant la fenêtre menant à son jardin (non pas celui-là, vers celui avec la piscine). Elle aperçut de loin son voisin, George. Mon dieu qu’elle l’avait toujours détesté et méprisé : aussi loin qu’elle se souvienne, elle l’avait toujours connu moche, hirsute et bedonnant, grossier ; en réalité elle s’était toujours débrouillée pour ne pas avoir à lui parler, ou le moins possible, rester loin de lui en le méprisant. Un jour, elle l’avait surpris en train de la mater de sa fenêtre alors qu’elle bronzait seins nus au bord de sa piscine. Depuis, elle n’avait plus jamais laissé tomber son haut de maillot, au grand désespoir de son mari d’ailleurs, qui avait réussi à la convaincre d’essayer. Première et dernière fois. Mais là elle s’en fichait, elle le regardait vaquer à ses ...
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