1. Souillure et plaisir (1)


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Hétéro

    ... son petit buisson et écarte largement les cuisses en se laissant aller. L’orgasme est dévastateur. Mais le cap est passé : elle passe une heure entière à imaginer ce gros con la prendre dans tous les sens, dans toutes les pièces. Elle qui s’était rarement masturbée de toute sa vie, la voilà qui enchaîne les orgasmes les uns après les autres. Et elle demanderait bien un supplément si son amie n’était pas venue sonner à la porte. Mince ! Sophie c’est vrai ! Elle devait passer à la maison pour prendre le premier bain de soleil de l’été ; et il était déjà 11 heures. C’est donc toute ébouriffé (en bas comme en haut), qu’elle s’habille en vitesse pour aller lui ouvrir. Pas folle l’autre demoiselle, elle a compris au premier regard que Christine était en train de se flatter, et ça l’amuse (parce que c’est une cochonne notoire, mais ça Christine ne le sait pas). Mais je vous passe les détails : les voilà quelques heures plus tard au bord de la piscine, bronzette oblige en ce bel été et lunette de soleil et bikini oblige. Tranquillement elles papotent : Christine raconte son quotidien, Sophie ses aventures d’avocates. De loin, elle aperçoit à travers ses lunettes George pendu à sa fenêtre. Qu’est-ce que ça peut l’agacer ! Elle regrette déjà la partie de fantasme qu’elle s’est offerte le matin même. — Le voisin mate encore, dit-elle, pas moyen d’être tranquille avec ce vieux vicieux. Y a pas une loi contre ce genre de taré ? — Bof. Qu’est-ce que ça peut faire ? Laisse-le donc ...
    ... regarder. D’un coup elle se releva pour dégrafer le haut de son bikini, en le jetant derrière elle. Elle reste discrète bien sûr : pas de regard vers la maison du voisin, même furtif. Après tout, le vieux ne doit se douter de rien. Que fait l’autre belle ? Elle rit d’abord : c’est grotesque après tout. — Tu es folle ! — Mais laisse toi aller ma belle, ça ne fait de mal à personne : regarde, lui tu le combles, et toi ? Eh bien cela ne t’excite pas de savoir qu’il te désire ? Qu’il passe ses nuits à se masturber en rêvant de ton corps ? que risques-tu au pire ? Christine sentit son entrejambe s’humidifier à l’instant même elle s’imagina la queue du vieux. Quel objet ! Oh elle le voit bien ; elle imagine le vieux moche, la matant depuis sa fenêtre, branlant sa grosse queue depuis sa vitre. Allez ! Pourquoi pas : elle suit le mouvement, dégrafe son haut et, ses petites tétines brunes pointant vers le ciel, se rallonge en guettant de loin les activités du voisin. — Je savais que tu avais un petit côté coquine ma belle, lança Sophie toute souriante. Tu devrais te laisser aller un peu et savourer la vie pendant que tu le peux encore. Surtout maintenant que tu es seule ; pas que ce soit la meilleure chose qui te soit arrivée ! Mais essaie au moins d’en retirer de bons côtés. Christine souffla : — Oui, tu as peut-être raison. * * * George lui, n’a pas perdu de temps. Déjà quinze ans qu’il attend que la voisine laisse tomber son haut. Une fois elle l’avait fait, et bon dieu il s’était paluché ...
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