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Les femmes du hammam Episode 1 : Baya et Djamila d
Datte: 07/02/2019, Catégories: Inceste / Tabou Humour, Anal
... de nouveau, je fus accueilli par un superbesourire de contentement.- T‘aaref ett-nik belfoum! (Tu sais baiser avec la bouche !) Weqt ett-weri li kifach ett-nikbe zeb ! (C’est le moment de me montrer comment tu niques avec ton zob!) Wari li tahane ent‘aaradjli kiffach ett-nik martouh ! (Monte à mon cocu de mari comment tu baises sa femme !) Werri lou !(Montre-lui !)Elle avait gardé ses jambes relevées et écartées. Elle était toute prête à accueillir ma queue. Elletendit le bras pour me signifier que je devais maintenant m’occuper de la tirer. Elle avait gardéses jambes relevées ; je vins me placer entre elles, pour pouvoir positionner le gland de mon enginfrémissant entre ses grandes lèvres entrouvertes. Elle avait fait l’effort, pour garder la positionet me permettre d’investir plus facilement les lieux, d’att****r l’intérieur de ses genoux pourempêcher ses jambes de retomber. Baya regardait le monstre avec un merveilleux air de gourmandise.Elle bavait rien qu’à l’idée de se faire empaler par ce manche qu’elle trouvait de bonne taille.- Nik Baya be zeb touil ou smin ! Dakhlouh fi saouti ! Warri-li qawtouh ! Lazzem en-has qouwaen-ta‘aou !(Nique Baya avec zob grand et gros ! Enfonce-le dans ma chatte ! Montre-moi sa force !Fais-moi sentir sa force !)Je ne me fis pas prier pour faire exactement ce qu’elle me demandait. Je posai le gland à l’entréedu tunnel, après avoir forcé les grandes lèvres à s’écarter encore plus qu’elles ne l’étaient, et jela pénétrai d’un violent coup de ...
... rein. Malgré sa taille, il entra assez facilement dans le vagin dema belle étroit, mais abondamment lubrifié. Le tunnel de Baya semblai ne pas avoir accueilli de zobsde grandes dimensions. Il était très élastique et moulant. Je me disais, tant était fort le plaisirque me procurait le frottement avec toute la surface de la paroi, que ce vagin là avait été moulésur mon engin. Il avait été créé pour lui ! Il allait et venait en force dans l’étroit tunnel inondéde mouille, créant, à chaque aller-retour, de forts clapotis à la sonorité indécente.Baya regardait, avec des yeux brillant de luxure, l’engin qui entrait et sortait de sa chatte. Ellesemblait autant aimer le spectacle de ce sexe qui allait et venait dans son vagin, que la chaleurqu’il lui procurait en frottant vigoureusement sur la paroi de son tunnel. A chaque pénétration,elle poussait un petit cri de plaisir et attendait impatiemment la sortie de l’engin pour le voir lapénétrer de nouveau et la posséder avec autant de force. Elle en bavait littéralement, laissantcouler des litres de salive entre ses lèvres entrouvertes. Elle hurlait des mots et des phrases quiavaient toutes une relation directe avec son cocu de mari. Des mots et des phrases qui la mettaienten transes. Elle semblait totalement prise dans son plaisir et avait perdu toute notion de laréalité. Elle s’offrait à mes coups de boutoir sans aucune retenue:- Dir legroun li Mourad ! ‘Amar-lou dmaghou ! ‘Aaradh souat Baya ! Wari li radjli wach idirzeb en-ta‘a radjel ...