1. Les femmes du hammam Episode 1 : Baya et Djamila d


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Inceste / Tabou Humour, Anal

    ... hammam du quartier, il y en avait deux qui sesingularisaient très nettement et qui avaient attiré mon attention et ma curiosité. Elles faisaientpartie de celles qui portaient le voile traditionnel (le merveilleux haïk M’rama typiquementalgérois, blanc, en satin ou en soie, qui laissait subrepticement apparaître le mollet de celle quile portait, ce qui titillait la libido de tous les hommes qui la mataient sur son chemin) et quitrainaient longuement avant de rentrer chez elle. C’était la deuxième fois qu’elles entraient dansla librairie et passaient beaucoup de temps à entre les rayons à chercher des livres tout endiscutant très longuement avec mon frère Moussa. Déjà la première fois, il les avait traitées avecbeaucoup d’amabilité, bien qu’elles n’aient acheté qu’un tout petit cartable d’écolier.Moussa était de deux ans mon aîné; à cette époque, il venait de boucler ses vingt six ans. Il avaitcommencé par être enseignant, après avoir suivi une formation à l’école normale supérieure. Maistrès vite, il avait abandonné l’enseignement, qu’il trouvait trop barbant, pour ouvrir et gérer unegrande librairie dans le quartier. Moi, j’étais sur le point de terminer une licence en économie, etj’espérais décrocher une bourse pour une post-graduation en France. En attendant, tous les soirs etles week-ends j’aidais Moussa à la librairie.Lui et moi formions un binôme très complémentaire. Nous nous entendions très bien, y compris pour cequi concernait les filles. La faible différence d’âge ...
    ... entre nous, faisait que nous étions plus desamis que des frères. Il y avait entre nous une complicité évidente. Nous draguions même ensemble -c’était surtout lui qui draguait et me faisait parfois profiter des ses conquêtes - sans tenircompte de cette pudeur hypocrite qui interdisait à un garçon d’une famille de faire quoi que ce soit« d’impudique » devant un proche. Nous n’en étions pas encore arrivés au point de partager la mêmefemme, mais nous ne nous gênions pas pour tirer nos conquêtes dans le même endroit, et au mêmemoment. Nous avions d’ailleurs aménagés un lieu de « débauche » dans un local libre au fond de lalibrairie, où – quand la chasse était bonne pour l’un ou l’autre, ou pour les deux à la fois – nousprenions quelques moments de plaisir. Nous y avions installé un grand canapé et un lit de camp quidevenaient nos champs de bataille.…/…Deux Samedis de suite, je surpris Moussa entrain de discuter un long moment avec les deux femmesvoilées qui étaient entrées dans la librairie, en sortant du hammam. La première fois, je n’y avaispas prêté beaucoup d’attention. D’autant qu’en sortant, j’avais vu que l’une d’elle avait acheté unpetit cartable d’écolier, destiné certainement à son fils. Mais la deuxième fois, j’avais remarquéque la discussion des deux femmes avec mon frère durait plus que nécessaire, s’agissant de clientes.De temps en temps, je voyais Moussa qui jetait un regard vers moi, comme s’il réfléchissait àquelque chose qui avait une relation directe avec moi. En ...
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