1. Les femmes du hammam Episode 1 : Baya et Djamila d


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Inceste / Tabou Humour, Anal

    « Comme chacun sait, les hommes jaloux peuplent villes et campagnes. Ils oublient que les femmesparviennent toujours à leurs fins. Par-delà les murs, les mers et les montagnes»…« Mon cher époux ! Tu crois que c’est en m’enfermant que tu m’empêcheras de te tromper ? […] Sache,mon mari, que ta surveillance n’assure en rien ma fidélité. Si je le veux, je peux te tromper, à tabarbe»Nora ACEVAL, Contes libertins du MaghrebC’est en lisant le recueil de contes quelque peu grivois, qu’avait publié en novembre 2008 NoraAceval El Khaldia, auteure française née en 1953 dans la région de Tiaret en Algérie, que m’estrevenu en mémoire tout un pan de ma jeunesse. C’était surtout les histoires du livre qui sedéroulaient dans des hammams pour femmes ou qui y faisaient allusion, qui m’avaient rappelél’exquis parfum d’érotisme intimement lié à ce lieu, d’où je voyais sortir, surtout les samedisaprès-midi (veille de la journée hebdomadaire de repos qui était encore le dimanche, à cette époquelà) un chapelet de femmes - voilées ou pas - qui venaient de quitter le hammam d’à côté de la grandelibrairie tenue par mon frère aîné.Le hammam pour femmes a toujours été pour moi un lieu mystérieux et merveilleux qui titillait monimagination de jeune adolescent, en pensant à tous ces corps de femmes nus entrain de se baigner,s’épiler, se parfumer et se faire belles pour leurs maris. Je fantasmais beaucoup en regardant cesfemmes qui passaient devant la librairie, laissant derrière elle cette odeur si ...
    ... caractéristique devapeur d’eau et de savon, de propre, et pour certaines, de parfums traditionnels orientaux – à basede musc ou d’ambre.Mon imagination – déjà très débridée – m’emmenait vers des mondes de beauté et de plaisirsérotiques, remplis de corps nus de femmes lascives, offerts à ma luxure et à mon bon plaisir. Chaquefois que je voyais une de ces femmes sortir du hammam, je ne pouvais m’empêcher d’imaginer son corps– blanc, propre, sans aucune trace de poil, préparé pour être offert la nuit venue, à un homme –certainement son mari – qui allait en prendre possession. J’étais fortement émoustillé – une manièrepolie de dire que je bandais comme un cochon - rien qu’à l’idée que cette femme qui passait devantmoi, sans même me lancer un regard, ne pensait en fait qu’aux moments de plaisir qu’elle allaitoffrir à son mari. Et que, peut-être elle allait elle aussi prendre son pied, si elle avait lachance d’avoir un époux compréhensif, qui ne soit pas qu’un mâle prétentieux, imbécile et égoïste.Il y avait de tout dans ces femmes qui quittaient le hammam : des jeunes et des moins jeunes ; desfemmes seules et des femmes venues en groupes ; celles qui portaient le haïk traditionnel(magnifique voile blanc, que certaines femmes portaient avec un art consommé de la séduction) etd’autres habillées à l’occidentale; des femmes pressées de rentrer à la maison et d’autres quitraînaient sur le chemin du retour à la maison, en faisant du lèche-vitrines.Parmi toutes les femmes qui fréquentaient le ...
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