Les femmes du hammam Episode 1 : Baya et Djamila d
Datte: 07/02/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Humour,
Anal
... vivre et où la belle avait mis en actiontous les moyens qu’elle possédait pour porter mon plaisir vers les plus hauts sommets, je ne pus pastenir plus de vingt secondes, avant que je n’éclatasse comme une bombe au fond de sa gorge. Jepoussai un énorme râle de plaisir au moment où je lâchais la première grosse giclée de foutre, épaiset brûlant.Elle arriva avec une telle force au fond de sa gorge qu’elle faillit l’étouffer. Elle réussitrapidement à maîtriser la situation et avala tout le foutre de la première giclée, avant que je n’enlâchasse trois ou quatre autres, qu’elle garda dans sa cavité buccale et sur sa langue. Repu, jesortis de sa bouche et me mis à observer le spectacle ahurissant – et tellement érotique ! – qu’ellem’offrit entrain d’avaler avec délectation - par petites doses et en me regardant avec ses grandsyeux noirs, brillant de lubricité - tout le foutre qu’elle avait en bouche. Elle finit par faireclaquer sa langue de contentement, comme pour m’indiquer que ce qu’elle venait d’avaler était aussidélicieux qu’un nectar ! Ce fut qu’à ce moment là que je compris que Baya avait une véritablehistoire d’amour avec le sperme, qu’elle adorait boire. Je me promis de lui faire expliquer cela, unpeu plus tard.…/…Mais pour le moment, je voulais aller plus loin dans ma relation avec cette magnifique femme, que lehasard avait mise sur mon chemin. En mâle prétentieux que j’étais encore à cette époque, je voulaissatisfaire sa libido, autant qu’elle venait de le faire pour ...
... moi. Je voulais la faire jouir trèsfort ; l’emmener au septième ciel ; la faire hurler de plaisir ; et en redemander ! Je ne doutais derien ! En fait malgré, la forte jouissance que j’avais eue quelques minutes auparavant, je bandaistoujours très fortement. D’abord parce que le spectacle de Baya avalant avec délectation mon sperme,m’avait très fortement émoustillé ; et puis, soit par expérience, soit d’instinct, elle n’avait paslâché mon membre qu’elle tenait encore dans sa main droite et qu’elle caressait légèrement pour lemaintenir en érection.Je sentais que maintenant elle le voulait en elle. Elle voulait sentir toute sa force dans sachatte. Elle se remit debout et me tira par la queue pour rejoindre le canapé à un mètre de là. Ellelâcha prise deux ou trois secondes, pour faire passer sa djebba (sa robe) par-dessus sa tête. Elleresta avec seulement sa culotte en coton d’un blanc immaculé. Elle me laissa le temps d’admirer sabeauté – elle était exactement comme je l’avais imaginée à travers le tissu de sa robe, avec uncoquin petit ventre rond, qui accrut encore d’un cran l’intensité de mon désir pour elle. Elleenleva aussi sa culotte et resta ainsi toute nue devant moi en me regardant avec ses immenses yeuxnoirs et brillants. Elle savait que je la trouvais belle et elle jubilait. Et belle, elle l’était audelà de tout ce que je pouvais m’imaginer !Ses seins de marbre brun étaient de taille modeste ; mais ils avaient la fermeté et l’arroganced’une vamp de cinéma. Ses épaules ...