Elodie chérie (11) - Histoires de Sexe

Elodie chérie (11)

... et est complètement chavirée dans les bras de sa compagne. Aurélie regarde cette scène incroyable avec une moue désabusée. Le spectacle de ses parents en train d’embrasser, chacun de leur coté, leur jeune amante n’est pas particulièrement pour la ravir Quand Sandrine relâche Maria, c’est pour dire avec l’aplomb qui la caractérise: « Maria et moi allons désormais vivre ensemble et probablement nous marier aussitôt que cela sera possible ! » Mon épouse me regarde avec des yeux de chien battu et quand je lui tend les bras, elle vient s’y réfugier, penaude. Je lui dis alors, sur un ton rassurant : « Je te souhaite beaucoup de bonheur Maria! Je ne peux rien te reprocher, sache-le car comme tu le sais, pour ma part je suis amoureux d’Elodie. Aurélie, contrite et se sentant de trop dans ce déballage intime, déclare : - Bon ! Je vous laisse entre vous, je vais dans ma chambre ! — Non ! Reste ici s’il te plaît! Rétorque Elodie en lui saisissant le poignet. — Lâche-moi ! Se débat la petite avant de s’éloigner en colère, immédiatement suivie par sa sœur. La belle Sandrine me fait les yeux doux et reprend Maria par la hanche pour la séparer de moi. Mon épouse se love alors lascivement contre sa jeune amante, dont elle est visiblement très attachée. Curieusement, je n’éprouve aucune jalousie, au contraire, je les trouve tellement charmantes ensemble, que je m’approche du couple et dépose une bise sur la joue de ma femme et quand je veux faire de même à Sandrine, cette dernière m’attrape ...

... par le cou et m’embrasse sauvagement sans lâcher Maria pour autant. Quand elle me libère la bouche, son visage reste près du mien et en me regardant jusqu’au fond de l’âme, me déclare : « Toi et moi on va encore faire l’amour ensemble, ne t’inquiètes pas pour ça ! N’est-ce pas ma chérie, que tu es d’accord pour que ton mari me baise de temps en temps? ». Ma femme, contrite, opine du chef, comme un peu soumise aux volontés de sa jeune amante. D’un bref regard qu’elle interprète aisément, je fais comprendre à Maria que ce n’est pas mon intention de la tromper avec Sandrine. … Alors que l’ambiance s’est détendue, j’aide les deux femmes à décharger le coffre de la voiture de Sandrine, puis à charger quelques effets de Maria. Nous convenons de nous revoir ultérieurement pour mieux discuter de tous les chamboulements à venir. Les deux amantes me quittent, sans même saluer les deux filles, enfermées dans la chambre d’Aurélie et visiblement en pleine discussion. Toute mon inquiétude du matin a été dissipée à grande vitesse. Je ne sais pas pourquoi, mais je me sens tout léger maintenant. De voir partir mon épouse aux bras de sa maîtresse, paradoxalement, me réchauffe le cœur. Je craignais de faire de la peine à Maria en lui avouant mon amour pour notre fille, mais sa jeune amante nous a obligés à prendre nos responsabilités et sans détour ! Il n’y a pas eu de confrontation, ni de dispute, rien de tout cela, sinon que de la reconnaissance mutuelle de nos amours si particulières. … Un ...