BM... W
Datte: 15/08/2017,
Catégories:
hh,
hbi,
grossexe,
parking,
Oral
hdanus,
hsodo,
... goûter, de le sucer. — Putain… je sais que je ne vais pas tenir longtemps, j’en ai trop envie. Suce-moi, s’il te plaît. Suce-moi vite, j’ai les burnes qui vont exploser tant elles sont pleines. Comprenant l’imminence de la situation, je le maintiens par la base tandis que ma bouche se pose sur l’énorme bonbon que forme son bout en pleine croissance, et descend en le décalottant, ce qui lui arrache un gémissement si caractéristique de l’abandon, ou de l’aboutissement. De la langue, je découvre la douceur de son beau gland, m’attardant longuement sur le frein, ma main cajolant toujours ses testicules. La bouche pleine de salive, je dévale l’épaisse hampe en de lents va-et-vient langoureux, gagnant quelques centimètres à chaque aller-retour, pour souvent remonter lécher son gros nœud maintenant en pleine érection. Sa solide queue occupe complètement l’espace, plus j’en avale, plus il en pousse ! Et, bien que je ne sois pas parti pour une aventure ce soir en traînant mes guêtres dans ce foutu parc, je ne regrette pas ce qui coulisse dans ma bouche en ce moment. Jérôme bande maintenant comme un cerf, mes lèvres le parcourent avec appétit, prenant autant de plaisir à le sucer qu’à l’entendre me dire qu’il va hurler tellement je lui fais du bien. Il ne tiendra pas, c’est une évidence, mais cela n’a aucune importance. Ma fellation est douce, régulière, jouant cycliquement de la langue sur son gros gland dur, massant ses belles couilles pour bien les stimuler, et veillant à bien ...
... pomper sa hampe en l’aspirant fort pour la comprimer. À peine sept ou huit minutes de ce traitement suffisent. Il me crie de faire attention car il va jouir, pensant probablement que je me vais me retirer pour le finir à la main ! Il est vrai que nous n’avons pas parlé des modalités avant, mais avec le plaisir que m’apporte une telle queue, il est hors de question pour moi de gâcher l’instant et de ne pas le laisser venir entre mes lèvres. Je garde le même rythme langoureux et le sens se tendre, se gorger de sang. À l’instant où son bassin part vers le ciel, le majeur de ma main droite lui presse le scrotum tout en conservant ses burnes dans ma main. Ma main gauche enchâsse fermement la base de sa longue hampe, alors que de puissantes ondes le parcourent. Son sperme me claque dans la bouche, brûlant, fougueux, goûteux, en de longues giclées que je m’empresse d’avaler. De nombreuses secondes, il jouit ainsi, violemment, semblant aussi incapable d’arrêter de crier son plaisir que de disperser son abondante semence, comme s’il déversait d’un coup entre mes lèvres l’excès de sa solitude forcée. Comme à mon habitude, je raccompagne sa belle verge dans sa retraite, le léchouillant gentiment pendant qu’il se détend, avant de gober ses belles couilles pour les remercier du sperme qu’elles viennent de me donner. Son goût de mâle se combine alors à celui de son nectar, laissant à jamais son empreinte intime gravée dans ma mémoire. Délicatement, de la pointe de la langue, je parcours sa ...