Jeux de lèvres tout au bord de l'eau
Datte: 09/02/2019,
Catégories:
fh,
couple,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
portrait,
... la ceinture de son slip que j’écarte. Catherine se soulève doucement afin de me faciliter la tâche. J’ai des difficultés à extraire le tissu mouillé de sa raie des fesses, comme s’il souhaitait rester incrusté dans cette faille et protéger l’orifice que je frôle sans y prendre garde. Elle tressaille mais me laisse poursuivre son effeuillage. Ce passage délicat franchi, son slip de bain glisse presque seul jusque sur ses talons. D’un coup de pied elle l’envoie loin de nous. Son sexe est là, à quelques centimètres de mes yeux, pour moi seul. Il m’hypnotise tant que je ne réagis pas. Catherine me bouscule. — Portez-le à votre visage ! Humez-le ! Découvrez-le et parlez-m’en !— Je commence par cette bosse au-dessus, toute ronde et douce. Je fais glisser un doigt. Vous le sentez ?— À peine !— C’est qu’il se perd dans votre toison toute blonde et très claire en même temps.— Elle n’est pas aussi brouillonne et envahissante que cela, elle ne cache pas le plus intéressant.— J’abandonne votre montagnette, elle m’accueillera peut-être plus longuement une autre fois ! Maintenant je découvre votre coupure… Elle s’ouvre, elle s’épanouit. C’est comme si elle se déchirait toute seule.— C’est la force de votre regard, il y a tant d’envie dans vos yeux, ils sont plus affutés que des ciseaux. J’ai comme l’impression qu’ils découpent mon sexe en suivant des pointillés invisibles. Regardez le bien ! Je le dévoile pour vous, aussi loin et aussi profond que vous le souhaitez. Il vous appartient, je ...
... vous le confie. D’ailleurs, il le pressent, des lèvres sont maintenant largement déployées pour vous accueillir.— De vrais pétales de chair, translucides, humides. J’ai l’impression que parfois ils palpitent et grossissent.— Déjà !— Oui, ils luisent, ils ressemblent à des miroirs en peau.— Approchez-vous encore un peu plus. Je veux sentir le souffle de votre respiration sur mon sexe, un air chaud qui l’attisera encore plus.— Comme cela ?— Oui, merci. Il est béant n’est-ce pas ?— Il s’offre, mais c’est un puits encore étroit.— Je ne peux pas l’ouvrir plus toute seule. Il faut le travailler, le malaxer, le fouir afin qu’il se dilate encore plus. Vous devez percevoir les premiers contreforts de mon antre et ce conduit plus sombre qui se dessine.— Je les contemple. Ils ne me refusent rien. C’est une conque de fleurs qui s’humidifie et se couvre tout doucement d’une sorte de rosée.— Jean Marie, je n’en peux plus. C’est comme pour vous tout à l’heure, c’est si puissant, si merveilleux ! Engagez un doigt, qu’il ne s’attarde pas, qu’il s’enfonce résolument, je suis prête à l’avaler. Oh ! J’allais l’oublier, il faut que je vous montre mon bouton, je l’ai caressé hier sous vos yeux mais trop égoïstement. Catherine se redresse légèrement. Elle passe une main totalement déployée sur sa vulve. Elle agrandit son ouverture et repousse les lèvres de son vagin, qu’elle retrousse encore plus. Elle s’arrête tout en haut, juste sur le gros bourgeon que je perçois sous une sorte de capuchon. Elle ...